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___Yama___

Je crois que je vais vraiment devenir folle si celà continue comme ça. D'abord ma relation avec Omar ensuite cette grossesse non je ne survivrai pas à tant d'épreuves comment le pourrais je.

Si seulement cette nuit là j'avais su résister à la tentation rien de cela ne serait arrivé.

La poudre que j'avais mis dans le jus d'Omar et que je croyais être un somnifère n'en était pas un. Je ne sais pas ce que c'était. Si d'habitude j'en achetais moi même ce jour là j'étais trop debordé pour sortir et j'ai demandé à Sasha de m'en achetée sans pour autant lui dire les véritables intentions. Mais on dirait bien qu'elle a été plus maligne que moi, elle m'a dupé et je n'y ai vu que du feu.

Cette nuit là Omar tout comme moi d'ailleurs étions possédés par la tentation extrême. Je ne me souviens même plus de ce qui s'est passé. Tout ce que je sais c'est que je m'étais donné a lui.

Je ne m'étais pas vraiment rendu compte que de ma bêtise. Ce n'est qu'à mon réveil que j'ai pris conscience de mon erreur en voyant cette tâche de sang symbolique que toute femme rêverait d'offrir à son mari. 

Il est vrai que je n'avais jamais imaginé ma première nuit comme celà. Je me suis toujours préservé en attendant le bon. Malgré mon sal caractère j'ai quand même des principes auxquels je m'attache beaucoup.

Quiconque au courant de mon parcours et de ce que j'ai vécu pourrait d'une certaine manière me comprendre je n'ai jamais voulu de cette vie mais c'est quand même la mienne.

J'ai beau me comporter comme une femme fatale je suis quand même très sensible à l'intérieur. Je ne montre pas mes émotions et ma souffrance je la garde pour moi ça ne regarde personne d'autres que moi. La vie m'a faut tellement de coup de pute dans le dos que plus rien ne semble m'atteindre.

Mais aujourd'hui j'ai l'impression que tout mon monde s'écroule. Bien que j'avais une certaine attirance pour Omar, au début je me convainquait en me disant que c'était éphémère et que ça allais passer comme tous les autres coups de foudres que j'ai eu dans ma vie. J'ai voulu repousser toute cette vague de sentiments deferlants en moi, j'ai voulu nier, et me mentir a moi même mais j'ai fini par tomber dans mon propre piège. Je ne me suis pas rendu compte à partir de quel moment je suis tombé sous le charme d'Omar. Pire encore où pour être beaucoup plus exact je suis tombé amoureux de lui. Dieu m'en ai témoin que tel n'était pas mon intention. J'aurais juste dû remplir le deal et ressortir de sa vie comme j'y suis entré.

Comme on dit a force de jouer avec le feu on fini par se brûler et c'est ce qui m'est arrivé. Je viens enfin de comprendre pourquoi l'on dit que ces genres de choses ne se commandent pas. L'amour nous vient sans pour autant qu'on l'ai demandé, il nous torture. Parfois on en ressort vainqueur et parfois aussi on en ressort vaincu.......


___Marie___

- vas y assis toi d'abord.

Je le regardais sans pour autant pouvoir sortir un mot de moche tellement le choque me dépassait. Comment il a ou tomber aussi bas et devenir ce personnage si sinistre .

- Amar yay mbam yay khadj  ( tu n'es qu'un vaut rien Amar)

- hee écoutes moi bien déjà tu ne va pas venir dans ma maison pour m'insulter.

- Fous moi la paix je te dis. Tu t'entends parler ? Amar tu n'a pas honte de te vanter de cet argent que tu as volé a une pauvre petite fille.

Il agrandi ses yeux et sauta de stupeur.

- ne me regardes pas comme celà j'ai dis tu crois quoi? Que personne n'allais jamais te retrouver ? Que tu allais vivre avec cet argent volé AVEC ta femme et l'enfant de celle ci aanh legui tu fais du bénévolat d'enfant tu rejette le tient mais t'en élève d'autre  tu pensais  vivre en parfaite harmonie AVEC la  conscience tranquille hein?

- Marie tu la fermes c'est chez moi alors déjà ne m'accuse pas de quelque chose de faux. Et deusio ça ne te concerne pas qui jhéberge ou non

- arrête de mentir s'il te plaît. En venant ici je ne savais même pas que c'était toi. Sache que Dieu n'est jamais témoin d'une injustice et je vais m'occuper personnellement de ton cas.

- merde Marie tu m'insupportes a la fin. Mako def matay.

- mak bou rouss mom matay Rek do sax rouss espèce de sans coeur  TU AS VOLÉ L'ARGENT DE TA PROPRE FILLE ESPÈCE DE SALOPARD mais tu ne perds rien pour attendre car tu vas le lui rembourser jusqu'au dernier centime ou je te colle un procès au cul.


Je ressors de suite sans lui laisser le temps d'en placer une. Cet idiot il ne mérite même pas de vivre. Comment peut on être aussi cruel et qui plus ai avec sa propre fille mon dieu   cette personne  ne  mérite même pas d'être appelé père  ce n'est qu'un connard doublé d'abrutis.

Il m'a énervé en plus.

- waouh calmez vous mademoiselle.

- en quoi mon état te regarde ? Démarre je ne veux même plus voir cette maison.

- comme vous voudrez.

Je sais que je deversais ma rage sur lui mais je n'y pouvais rien.

(....)

Le lendemain je suis allé voir Keyla pour lui parler de son pseudo père.

- Non non mais attendez une minute vous me dîtes que vous avez retrouvé l'homme qui m'a volé et qui se trouve être mon père biologique?

- oui c'est celà.

- déjà comment avez vous fait pour le retrouver ?

- ce n'est pas important ça.

- ok j'avoue que vous m'embrouillais encore plus l'esprit.

- je sais viens avec moi le voir tu ne pourras que me croire .

- et qu'est ce qui vous le fait dire?

- ma fille je sais beaucoup de chose sur toi beaucoup plus que tu ne l'imagine. J'ai appris a te connaître avant même de te connaître.

-et je suis censé . Dire waouh +elle  me connaît plus que moi mais oh c'est génial !!!!

-je suis vraiment désolée je sais que cette situation est loin d'être plaisant ni facile à supporter mais il faut que tu comprennes

Keyla : comprendre QUOI?  bordel! comprendre qu'une femme se disant ma mère apparaît dans  ma vie  et que du jour au lendemain elle m'annonce que cet avocat de mes deux qui m'a gâché mon enfance est. mon sois disant père

___Keyla___

Après ma phrase crise de nerfs  j'allais dégager retourné chez moi et oublié toute cette histoire mais la curiosité m'avait envahi et il fallait que j'en sache un peu plus. Je me suis donc rendu chez moi sois disant père et voleur et passant en compagnie de ma sois disante mère.

On sonne et c'est une jeune femme bien habillé qui nous ouvre.

Elle nous installe au salon et va chercher  le patron.

- Qui est ce encore.

Je l'entend marmonner en descendant les escaliers et arrivé a ma hauteur il se stoppe. Je pense  qu'il n'avait pas remarqué la présence de Marie.

- ho t'es qui toi?

- votre fille. ....

.....................

Écrit par MariamaThiam0 and @miracle221

CËËBU JËËNOù les histoires vivent. Découvrez maintenant