Chapitre 2 : En sécurité

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Point de vue extérieur :

Rosa était devenue en l'espace de quelques secondes la nouvelle assistante du Président. Il marchait d'un pas pressé devant elle, essayant de le rattraper lorsqu'il s'arrêta elle buta contre lui. Il se retourna.

Aaron : Vous aimez me rentrer dedans.

Rosa : Désolée.

Elle baissa les yeux.

Aaron : Regarder moi. ( elle le regarde ). Ne baisser jamais le regard, d'accord ? Vous n'êtes en aucun cas inférieur a moi.

Rosa : D'accord.

Aaron : Bien, voici les dossiers que nous allons aborder au cours de la réunion. ( lui donne les dossiers ) Et, je crois que c'est tout.

Ils entrèrent dans la salle de la réunion, à peine Aaron ai passé le pas de la porte que tout le monde se leva. Il les invita d'un geste de la main à les faire s'asseoir. Rosa s'installa à côté de lui. Tout le long de la réunion, il avait porté celle-ci d'une main de fer.

Aaron : La réunion est terminée. Mademoiselle Lewis.

Rosa se leva et se dirigea vers la porte accompagné de Aaron. Lorsqu'une voix l'interpella.

? : Excusez nous mademoiselle Lewis.

Rosa se retourna.

Point de vue de Aaron :

? : Excusez nous mademoiselle Lewis.

Rosa : Oui ?

Quelqu'un appela Rosa.

? : C'est pour te demander ton numéro de téléphone parce que t'es super mignonne.

Il est en train de la draguer ou je rêve.

Rosa : C'est à dire que...je donne pas mon numéro aux inconnus.

? : Je suis Carl Anderson. Comme ça je suis plus un inconnu.

Carl Anderson, ce nom me dit quelque chose ? Mais oui, c'est à cause que Anne ma précédente assistante est partie. Malgré qu'elle soit enceinte et mariée il l'avait persécuté. Faute de preuve j'ai pas pu le renvoyer. J'aurais dû, merde.

Carl : Aller, Rosa. Tu as pas de petit ami de toute façon.

Rosa recula jusqu'à buté contre moi. Je me retourna de ce fait son dos fut coller à mon torse. Elle se décolla rapidement mais je saisi sa main et la repositionna. Elle tremble de peur.

Moi : Carl que veux tu à mon assistante ?

Il recula, alors comme tu dragues quelqu'un sans savoir à qui elle appartient ?

Carl : C'est à dire monsieur le président...

Moi : Je vous écoute Carl.

Carl : Rien.

Il partit, je souffla, pauvre mec. Je me tourna vers mon assistante.

Moi : Tout va bien mademoiselle Lewis ?

Elle tremblait encore dans mes bras. Elle leva enfin la tête vers moi.

Rosa : Je...( cherche ses mots )...je suis désolée.

Moi : Pourquoi t'excuses tu ?

Rosa : Pour ça...

Avant que je ne comprenne quoi que ce soit elle s'évanoui dans mes bras. Mon meilleur ami, le vice président vint vers moi.

Un amour impossible ou presque ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant