Chapitre 5 : Princesse

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Point de vue de Rosa/Anna : 

L'agent Mike m'a dit de contacter l'autre agent infiltré. Il est plus proche de moi parce qu'il protège Le cavalier alias Aaron. C'est la main tremblante que je saisis mon téléphone et tape sur le clavier numérique le numéro de l'agent Jones. La voix de mon interlocuteur se fait entendre au bout de quelques secondes.

Moi : Agent Jones, c'est Anna Miller, j'ai besoin de votre aide. 

Point de vue de Aaron / Le Cavalier : 

Le téléphone de Grégoire sonne. 

Grégoire : C'est elle, je vais mettre le haut parleur ok ?

J'hoche simplement la tête encore choqué par la nouvelle. 

Elle : Agent Jones, c'est Anna Miller, j'ai besoin de votre aide. 

Grégoire : Agnet Jones je vous écoute.

Elle : L'agent Mike m'a dit de vous appeler. Le temps qui fasse le déplacement jusqu'à New York. Ils...ils...m'ont retrouver et... sont rentrer dans mon appartement. 

Ses reniflements sont insupportables à entendre, ils me brisent le cœur. C'était pas censé se passer comme ça. Ses enfoirés étaient censé croupir en prison, elle aurait dû avoir sans problèmes mais au lieu de ça ils sont en liberté. Grégoire pose sa main sur mon bras sentant la colère monter en moi. Mais crois moi ce n'est pas ne la colère que je ressens mais de la haine. De la haine pure est dure. 

Grégoire : Surtout vous ne bouger pas, je vais venir vous chercher avec Le Cavalier. 

La première fois que j'avais entendue ce surnom était dans cette cave. C'était comme ça qu'elle m'appelait lorsque je perdais connaissance trop longtemps. Au cours de nos brefs discussion lorsque j'ai réveillé et elle aussi. Elle m'avait dit que sa mère lui avait que les princes n'existaient pas mais que les cavaliers oui. Je pars chercher ma veste et les clefs de ma voiture. Et attends que Grégoire me rejoigne. 

Elle : Ce n'est pas nécessaire, je...je vais me débrouiller toute seule.

Je fronce les sourcils, elle veut se débrouiller toute seule alors qu'elle fait des malaises et que son psychopathe de père et de meilleur ami se trimbalent dans la rues. C'est l'hôpital qui se fout de la charité. Je jetais un regard à Grégoire qui en disais long sur ma pensée.  

Grégoire : Préparer vos affaires et attendez qu'on arrive c'est un ordre. 

Elle : Bi..en. 

Et elle raccrocha. 

Moi : Dépêche toi parce que ça m'étonnerai qu'elle fasse ce qu'on lui dit. 

Grégoire : Bizarrement moi aussi. 

Il prit son manteau et on partit le plus rapidement possible chez Rosa. Anna ? Je sais plus comment l'appeler. 

Point de vue de Rosa/ Anna :

Je sortis une grosse valise de mon placards et mis mes vêtements en vrac dedans, je n'avais plus le temps non seulement mon père ? Et Paul savaient ou j'habitais mais en plus ils étaient rentrer à l'intérieur mais aussi Le Cavalier et son agent vont arrivés.

10 minutes plus tard ma valise était finie, je pris mon sac à main ainsi que mon passeport et je sortis de mon appartement en prenant soin de fermer la porte derrière moi. Je descendis les escaliers et sortis de mon appartement. Je héla un taxi, il s'arrêta à mon niveau, ouvrit la fenêtre du côté passager et me demanda ou j'allais. J'allais lui répondre lorsque quelqu'un s'abaissa au niveau du conducteur et lui dit d'une voix qui m'était familière. 

? : Désolé dispute de couple. 

Taxi : Ah je connais bien avec ma femme c'est pareil, elle me menace toujours de partir. Fais attention un jours elle risque de partir. 

? : Je ferais attention encore désolé. 

Ma seule chance de partir venait elle aussi de partir. La personne à la voix familière se retourna vers moi, c'est pas possible.

Lui : Alors comme ça on s'échappe Princesse ?

Je m'arrêtais de respirer pendant quelques secondes avant de souffler son prénom.

Moi : Aaron. 

Avouez vous avez cru que c'était Paul. 😂

Princesse. Il avait dit que si il était un cavalier et bien je serais une princesse. Parce que sa mère lui avait dit de toujours traité les filles comme des princesses. Je tombais à genoux par terre. 

Agent Jones/ Grégoire : Elle est par..tie. Ah bah non enfaîte. 

Moi : Laissez moi partir s'il vous plaît.

Aaron s'accroupit à mon niveau avant de me porter un bras dans mon dos et l'autre dans le creux de mes genoux. 

Lui : Il en est hors de question. Grégoire prends sa valise et ouvre la voiture s'il te plaît.

Il saisit ma valise et la fit rouler jusqu'à la voiture de mon patron pendant que lui me déposer dans la voiture. Il m'attacha et avant de fermer la portière je lui demandais une dernière de me laisser partir. Pour seule réponse la portière se referma comme ma chance. Il dit quelque mots à l'agent qui lui partit dans mon appartement, il fît le tour et s'installa du côté conducteur. 

Lui : Tu te rappelles de Garance ? Elle avait hâte de te revoir.

Il démarra la voiture et partit en direction de chez lui.Dans la voiture personne ne parlait seule ma musique résonnait dans l'habitacle. 

Je vous mets la traduction pour les nul(le)s comme moi en anglais

On arriva chez lui, il sortit en premier et vînt m'ouvrir la porte. Il récupéra ma valise ainsi que mon sac et se dirigea vers la villa avant de s'apercevoir que je n'étais pas sortie de la voiture. Il revint sur ses pas laissant la valise derrière lui et sortit son téléphone.

Lui : Garance ? Tu peux venir chercher la valise de Rosa devant la porte.

Il raccrocha, rangea son téléphone dans sa poche. La porte d'entrée s'ouvrit et se bloqua puis Garance apparut s'avançant dans l'allée, saisit la poignée de ma valise et la lanière de mon sac. Avant de s'avancer vers nous.

Garance : Un problème les enfants ? 

Lui : Non aucun. 

Il s'accroupit devant moi et me reporta en princesse. Garance referma la porte et nous suivait mes bagages à la main. A l'intérieur Aaron me déposa sur le canapé et retira sa veste. 

Garance : Je vais les déposer dans la chambre d'ami juste ne face de ta chambre mon grand. 

Lui : Merci. 

Elle disparût me laissant seule avec lui.

Lui : Bon alors Rosa ou devrais-je dire Anna ?

Un amour impossible ou presque ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant