Pardonne-nous nos erreurs, Produit par nos vices les plus déplorables

Chapitre 7

En cette fin de journée, Armin se sentait complètement éreinté. Il n'avait désormais plus qu'une seule idée en tête : de simplement pouvoir se prélasser sur son lit. Oh, avoir la possibilité de, ne serait-ce que quelques instants, se relaxer sans avoir à penser aux conséquences de ces actes qu'il attendait tel une épée de Damoclès au-dessus de sa tête... Cette perspective lui donna le premier sourire de ça journée, alors qu'il entrait ces clefs dans le verrou de sa porte.

S'était comme si ça délivrance se trouvait juste derrière cette barrière faite de bois, après avoir passé une journée que l'on pourrait facilement nommer d'exécrable. Déjà qu'elle avait plutôt mal commencé, puisqu'il n'avait pas entendu son réveil sonné après avoir passé la soirée la plus sportive, mais surtout la plus érotique de toute sa vie. Enfin, pour le moment, il espère... En tout cas, qu'il est aimé cette nuit agitée ou non, il était tellement épuisé qu'il avait fini par arrivé avec une bonne heure de retard au boulot. Mais comme si cela ne suffisait pas, il n'aura pas eu le temps de discuter avec Rivaille aux vues de son empressement pour rejoindre son travail, alors il dû partir le rejoindre durant sa pause de midi pour finalement avoir une altercation assez désagréable avec lui. Le contraste était si voyant entre leur discussion d'aujourd'hui et leur ébats de la veille...

De plus, une fois de retour au travail, il eux droit aux sermons de son patron qui le trouvait bien trop distrait ces derniers temps. Certes, il ne se voilait pas la face aux points de nier le fait que ces temps-ci, ces penser n'était plus tellement diriger envers les satellites et les avions, mais que pouvais-il y faire ? Son supérieur ne pouvait donc pas comprendre qu'il passait simplement une mauvaise passe, et que ce n'était certainement pas en lui mettant la pression qu'il allait parvenir à le remotivé ?

Une fois l'étape de l'ouverture de la porte passé, il put enfin retirer ces chaussures pour libérer ces orteils prix aux pièges depuis suffisamment d'heure pour en avoir des crampes. Grimaçant, il effectua de légère rotation avec ces chevilles pour tenter de dissiper un tant soit peu son inconfort, lorsqu'il entendit un boucan pas possible dans les escaliers. Apparemment, vue la hâte de Jean de le rejoindre au rée de chaussez, il avait l'air assez presser de le voir. Et si ... Et si c'était le moment ? Et s'il s'était enfin décidé a tout lui révélé sur sa relation cachée, et qu'il se sentait près à le quitter pour son amant ? Avalant difficilement sa salive, il sentit une montée de chaleur prendre part dans chaque cellule qui constitue son enveloppe charnelle. Finalement, il n'était plus autant pressé que Jean cesse de lui mentir, devoir affronter toute cette vérité après cette journée désastreuse, il ne le sentait pas. Vraiment pas. Il ne se sentait pas capable de tenir une conversation avec lui, qu'elle que soit le contenu de cette discussion.

- Non mais tu étais où ?!

Rien que l'intonation de sa voix le rendit nerveux, sans parler de sa posture qui dégageait une aura comminatoire. Il pouvait également constater qu'il contractait la majorité de ces muscles, laissant aisément deviner qu'il consacrait une bonne partie de son temps libre à des activités sportives. Il n'aura pourtant pas eu le temps de lever ces yeux jusqu'au sien, puisqu'il s'était déjà déplacé jusqu'à lui en un temps record. Il venait de rentrer, il était fatigué, contrairement à Jean qui débordait d'une énergie nocive générer par sa forte irritation. Il souffla un bon coup, car il sentait que ce qui allait suivre n'allait pas être une partie de plaisir.

- Pourquoi tu n'es pas rentré à la maison hier ? Qu'est-ce que tu faisais ?!