restez... s'il vous plait

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- ...Je...Je... restez, cela est dit dans un souffle j'ai les yeux vers le sol, honteuse de me compromettre.

Et je reste là ligoter aux pieds de l'arbre de métal pendant qu'Enzo entre dans la pièce, portant sur son dos dénudé une longue table basse en bois, parsemée d'anneaux tout au long de sa longueur.

Le sourire que m'envoie  le valet me  confirme  l'identité du deuxième homme ayant joué avec mon corps, le visage en feu,je suis  incapable de lui faire face et garde résolument les yeux plaquer au sol. Puis le domestique sorti....

Christo a pour sa part remit ses sous-vêtements et sa chemise rester entre ouverte laisse ressortir son regard malgré la pénombre. Comment admettre combien mon bourreau était beau sans crouler sous le poids de la honte, je n'en ai aucune idée...pourtant...

L'intéresser s'avance souriant vers moi. me libère à nouveau de l'arbre, pour me demander de prendre place sur la table où Enzo a déposé serviette et coussin avant de partir, j'obéis, ressentant à nouveau les papillons de l'appréhension au creux de mon estomac

-nous seront seul pour le reste de la soirée spécifia christobald en se dirigeant vers la nouvelle commode, pour en sortir de longues cordes de nylon blanches.

Il veille à mon confort installant sous ma tête, et mes genoux des coussins, avant de détacher les bracelets de cuir que je porte  encore à mes chevilles, et a mes poignets. Entreprenant ensuite les liés lentement avec la corde.Avec une lenteur étudier, il dépose la corde sur mes poignets un àla fois avant de les fixés à même la table, au-dessus de ma tête utilisant les anneaux qui y trônaient. C'est avec une autre technique qu'il se charge de mes jambes , les encerclant ensemble, enserrant mes membres d'une seule corde, dont une partie passe entre mes chevilles, atterrissant sous la table, et me restreignant tout mouvement.

je l'observe tout au long du proccesus , minutieux techniciens affairer, si concentrer que pour une fois je le regarde sans craindre de m'y faire prendre 

-ça va me demande christobald une fois la tâche terminer, d'une voix teintée de désir

-je n'en sais trop rien,

-attend un peu, tu verras bien, poursuivi chrito après l'éclat de rire que provoque ma réponse   en me glissant à nouveau la cagoule sur la tête.Et Déposant sa main chaude sur mon vendre

Ainsi je me sens glisser dans une sorte de bulle, sentant malgré moi mes muscles se détendre, ma respiration ralentir, ma peur s'envolée. Puis le contact de la main de christobald disparue emmenant avec elle ce qui me reste de l'espace et du temps. me sentant demi-sommeil, proche de l'hypnose qui emporte avec lui un sentiment de détente extrême.

je  glisse dans une sorte de torpeur,comme si, le corps, conscient de son impuissance concentraient ses forces sur ce qui lui restait de possible. Les sens plus en éveillent, le rythme de mon cœur qui résonnait partout dans mon être, et cet l'impression d'infinie.

Ce fut le souffle de christobald sur ma peau, que je ressens en premier, et les caresses si subtiles que je doute même de leurs existences, la chaleur du corps de chrito qui tourne autour de moi. Le silence m'aide à entendre la respiration rapide de l'homme, le frôlement de ses pas dur le sol.je sens ma poitrine se durcir, quand monsieur, souffla sur mes mamelons. Et la langue sensuelle de christobald qui atterrit presque avec timidité au creux de mon cou. L'homme portant grande attention a ne pas crée d'autre contact sur ma chair je suis parcourue d'un vif frisson. Cette langue qui descendait avec une lenteur proche de la torture vers cette poitrine gonflée d'impatience

l'IleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant