-Je capitule, Je capitule , je hurle littéralement la réponse dans une réaction de panique incontrôlable
alors d'un geste vers la porte par lequel j'étais entré, il demande à un homme cacher derrière la grille, de s'avancé Enzo fait son entrée ,la clef de la ceinture de chasteté entre les mains .Le valet tendit la clef au dominant s'agenouillant avec déférence m ignorant, moi qui déjà regrettait mon geste, il était trop tard.....
-maître ?
-tu ne savais donc pas qu'Enzo veillait sur toi... ? coupa le maître, avec l'un de ses rires gras que je craignais tant
-Non Monsieur
-tu n'est vraiment pas curieuse, salope, c'est un bon point pour toi répond Attila pendant qu'il détache ma ceinture
-j'ai changer d'idée, tentative veine , je le sais déjà... mais...
-Trop tard ma belle ! il faudra apprendre à gérer ton stress et ta tolérance a la douleur ... ou répondre aux questions avec plus de réflexion, réplique Attila avec dédain
me saisissant par le collier , il me fait lever , fessant tomber ma ceinture de métal qui s'écrase sur le pallier de bois d'un bruit sourd, me guidant vers la porte grillager, il M'oblige à me mettre à genoux un court moment je vois dans l'ombre les forme d'un corps, dans le long couloir de pierre, débout et les prunelle brune d'un homme me fixer intensément. Enzo toujours présent ne manque rien de mon aventure...
Attila utilise les bracelets de cuir aux chevilles et au poignets , il m'en ajoute aux genoux et au cuisses, avant de disposé deux pinces sur mes seins, et de prendre sur son mur une longue cravache avec a son extrémité des piques de métal avec lequel il me taquine,me piquant sur la poitrine , entre mes cuisse, et mes mollets, tournant autour de moi, me fessant souffrir au grès de son plaisir ,je ne retint aucuns de ses cris,tentant de me soustraire à la torture, sachant ne pouvoir me sauver,mais tentant de démontrer ainsi mon refus, pourtant au lieux de rendre Attila inconfortable comme je l'espérait , cela semble le galvaniser encore davantage, l'excroissance de son pantalon gonfle davantage encore, son regard allumer ne me quitte pas
Il paraît un peu partout sur moi des gouttelettes de sang cela me décide a me reprendre enfin , prenant de profonde expiration m'efforçant au calme, je cesse de me défendre, mes cris diminuent jusqu'à disparaître , et le sourire d'Attila s'estompe, son regard plus lubrique un peu plus tôt devient plus concentrer... j'ai enfin compris, la dominance d'Atilla se nourrit de cette perte de contrôle sur mes émotion et mes réactions, cette dominance en est une soutenue par cette grande discipline et une rectitude sans faille, j'acquis malgré moi et mes sévices un respect certain pour l'homme , mais aussi pour ceux de sa famille, qui se devaient d'être sans faille
au bout d'un moment me voyant enfin en contrôle . Laissant son jouet de fer, il s'avance, m'obstruant la bouche avec son propre t-shirts, puis me relevant il m'emmène vers une cage suspendue un peu plus profondément dans la salle, Cette cage mouler au forme d'une femme, jusqu'au rondeur de la poitrine ,
-s'est une cage de Corriveau ,me dit-il pendant qu'il la descend, a l'aide d'un mécanisme à manivelle pour la déposé au sol, avant de m'engouffrer a l'intérieur sans ménagement accidentellement les pince sur mes seins frottent sur les barreaux, ,m' insufflant un gémissement de douleur. La cage m'imposait un écartèlement des jambes, et libérait l'accès à mon intimité.
De quelques coups de manivelles, il remonte le carcan de métal qui m' emprisonne jouant avec un plaisir sadique sur les pinces posée sur moi qui gémissais de plus belle, et il me possède ainsi... balançant la cage, moi les pieds dans le vide subis l'homme, entre la douleur et la sensualité brutale. En m' arrachant des gémissements de douleur quant d'un petit coup sur les pince, il, donne un coup de bassin profond, et du même souffle, retire les deux pince pendant qu'il vient en moi, dans un hurlement animal de concert avec mon cris de douleur . dans mon for intérieur je salut presque cette douleur qui me permettait d'oublier cette prise de possession indifférente et brutale. et pourtant.... en nage et palletante j'attend sans mot...
et si je pense avoir passer a travers une séance qui prenait fin. je suis confirmer du contraire quand me sortant sans ménagement de cette boite froide, et me permettre de prendre congé, il me déplace vers une planche sur le sol, serti d'anneau. m'installant a quatre pattes,me fixant les coudes au sol, et le collier a même la planche pour que j'offre davantage ma croupe au assauts qui suivirent encore.
ma conscience s'envole à ce moment là, quittant mon corps, je ne sais plus ni ce que j'aime, ou n'aime pas, ce ce que je veux ou ne veut pas,bien que je sente les coups de butoir en moi je suis ailleurs, dans le souvenir des sensation je ressent toute ses année de souvenir que l'on enferme derrière ce mur, si loin de la mémoire qui pour moi en ce moment s'entre ouvre...il déferlent alors en moi les image dont je m'était libéré des année plus tôt voyageant sans contrôle... Attila vint à nouveau, mais cette fois dans un silence plat. Avant de se détourné de moi avec indifférence, passant la grille, sans un regard vers moi
emprisonner dans mes émotions Les frissons me secouèrent bien avant qu'Enzo ne me libère de mes liens, avant que je ne m''effondre sur la planche , et me roulant en boule me repliant sur moi- même en me berçant ,réagissant a peine à la chaleur de la couverture que le valet dépose sur moi, dont le regard inquiet ne me quitte pas..
bien plus tard dans ma chambre coucher dans mon lit , je ramasse encore mes lambeau de souvenirs , en analysant tranquillement la saveur ... je prend conscience que cette séance a eue sur moi un impact certain, et que quelques jour ne me suffirait pas, Atilla avait un e dominance entière: émotion , action, pensé, nous nous étions découvert l'un,l'autre et il était rester Maître du jeux... de ce seul fait....
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l'Ile
Romance''La fête bas son plein au bureau, toutes mes collègues sont là pour ma dernière journée, Neil, fier et beau comme a l'habitude capte toute l'attention , pour ma part je préfère rester discrète , assise a mon bureau j'observe avec détachement la...