NON!!!

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-NON !! je ne peux pas, je ne veux pas ... les mot s'emmèlent ,, je bafouille  


-Bien... Je ne resterais pas !mais je n'en ai pas fini avec toi pour autant, me répond christobald d'une voix égale


-Vous êtes fâché ?je n'arrive pas a retenir la question , la peur dans les entrailles


-Fâcher ?! mais non voyons....Déçus plutôt, pourtant cela ne me rassure pas pour autant 


je suis  libéré pour de bon de l'arbre de fer, christobald m'aide  avec précaution à me remettre debout.avant de se mettre a genou devant moi  pour s'assurer que les bracelets qu'i enserres mes  cheville ne sont pas trop serres. je regarde la tête brune, pencher sur mes pieds, me demandant s'il n'avait pas été plus sage d'accepter l'invitation de christobald , mais trop tard par peur ou par orgueil, je préfère rester silencieuse 


c'est  sans surprise pour moi  quand Christobald me dirige vers le lit, et qu'a l'aide de corde, il me fixe en étoile bras et jambes tendues au centre, utilisant des anneaux dissimulés sous le matelas duveteux.je m'attend a une conséquence à mon refus, je regarde cet homme qui se dévêtit , nerveuse. me sentant impuissante encore une fois, mais surtout a bout de force mentale. Ne pouvant retenir les larmes qui glissaient en silence.


Pourtant christobald se limite à se coucher à mes cotés. Déposant sa tête sur mon épaule nue  . Laissant volontairement son corps encore tendu a bonne distance du mien  .me  jouant avec douceur dans les cheveux, me berçant de sa voix calme, dans cette langue que je ne connait pas


-douce Lyly.... calme-toi, je t'en prie, je ne suis absolument pas en colère... regarde-moi.


je me détourne de lui   une seule fois Christo glissa son doigt le long de mon  cou maintenant accessible, puis retourna à mes cheveux... et attend.. au bout d'un long momentj'arrive à me calmer. Trouvant le courage de regarder christobald


-Lyly, on doit reprendre maintenant...avant ,je tien à te dire que je ne m'imposerais pas cette nuit et que cette soirée ne se terminera pas de la même façon que les dernières...


d'un geste timide de la tête je lui fait signe de comprendre , mais aucun mot ne passe mes levres... j'en suis incapable  , je le regarde les yeux pleins de doute, ma main glisse une fraction de seconde dans la chevelure de l'italien.qui ne peu retenir un petit gémissement de plaisir à ce court contact


-Regarde... regarde ce que tu fais de moi, avance  christobald avant d'enfoncer sa main a lui dans ma chevelure ambrée , en une caresse passionnée


je ne bouge plus  pas, j' attendant presque sereine, que puis-je faire de plus ,consciente de n'avoir d'autre choix que de subir,la passion ou la colère de l'homme étendu près de moi 


-Nous resterons seul...sa voix s'évanoui dans un murmure ...


et enfin Christo s'éloigne quelque peu de moi , restant coucher sur le coté dans le lit, il soutint ma tête plus élevée à l'aide de son coude et sa main, de celle encore libre il caresse du bout du doigt mon corps de frissonnant, je subit en silence les yeux fermés... passive.


D'un seul doigt avec une lenteur calculée, il entreprit de découvrir sous la lumière discrète, lmes point sensibles Du cou vers la joue, il se concentre un long moment sur mes lèvres qui sous les douceurs insistantes finissent par s'entre ouvrir détendue... invitantes. Ne cédant pas à l'invitation Il descendit ensuite en ligne droite vers le nombril. Chaque centimètre de peau ainsi investi s'échauffent tranquillement, parfois frissonnante de plaisir, je gardet résolument les yeux fermés


Christo découvre mes hanches d'une main pleine, etje laisse  échapper de petit rire nerveux. De retour avec un simple doigt, il invertit plus avant mes zones plus sensibles...sa poitrine, tendues, mon ventre, quelque gmissement m'échappe bien malgré moi , mais je garde les yeux clos

je le sens se déplacé dans le lit, mais refuse de cédé à la curiosité, j'ai  un cris de surprise quand, contre toute attente, je sens la main de christobald sous mon pied. Tentant en vains de me soustraire aux contacts qui m' arrachent des rires involontaires

« Douce Lyly »me dit il quand la torture cesse pendant que de ses deux mains,christobald caressait mes chevilles, enserrer de cuir. Remontant inexorablement vers cette intimité rendue humide sous ses caresses.Mais la main se détourna de ce triangle des Bermudes pour remonter à nouveau vers mon ventre.

-je poursuis ? douce Lyly demande la voix chaude de christobald

-ho...oui... oui s'il vous plait,je suis emporter ...

alors la bouche de christobald refait exactement le même voyage que ses doigts, que ses mains quelques minutes auparavant. Avec la même douceur, la même lenteur. mon corps se  moule aux caresses se tendant malgré moi vers le merveilleux supplice gémissante et disponible. On aura dit que je  revivait le même supplice que mon expérience du motel. Encore ligotées, les caresses que je fuyaient alors étaient aujourd'hui tellement attendu. La dominance de l'homme est tellement remplie de sensualité et d'attention, qu'il m'est  impossible  de les associer au même homme... et pourtant...

Il revient à mes coté. Le corps de christobald se moulant à nouveau au mien. je ressent cette fois une excitation égale à la sienne, sa peau chaude, son parfum viril me monte à la tête

-Je vous en pris... je vous en supplie,je n'en peux plus... je supplie dans un murmure 

mais christobald ne répondit pas à mes suppliques comme je m'y attendait.il dépose simplement ce doigt diabolique, sur mon clitoris, et tout en savourant ma poitrine, il débute ses caresses, si doucement que je commence par ne rien ressentir.La pression augmente tranquillement, et c'est en jouant avec le rythme que Christo impose a son doigt que je  ne tarde pas à gémir, ilme taquine ainsi un long moment,ralentissant juste au frôlement de l'extase, augmentant pour me guider à nouveau plus haut encore... et je monte  seule versl'extase, sous les caresses expertes de christobald


Et quand je reprend contact avec la réalité, c'est pour voir christobald déjà affairer à me libérer de mes liens.je le regarde silencieuse et hébétée quand Il se rhabilla avec nonchalance, s'assure de mon confort, et,me baise  fraternellement le front.avant de quitter après avoir libérer Châl de la salle de bain avec bien peu de mot.


je réfléchis jusqu'à tard dans la nuit, pensant  à la ressemblance de cette fin de soirée qui me laisse un goût amer, bien davantage qu'a celle de ma première rencontre  avec lui  je ne peux m''expliquer cette frustration qui me tenaille.je devrais me  réjouir d'avoir été libéré d'une partie des attentions ... je me sens ridicule  ,Comment expliquer que suite a ce si grand plaisir , l'absence de son instigateur me presse  d'un si lourds sentiment de solitude... je me promet  de reprendre la lecture de mon livre sur le syndrome de stockolms... et de demander un dictionnaire d'italien....


Et le lendemain matin une missive m'est apporter par Enzo


Tu n'aurais eu qu'à demander, et je serais resté......c


Et a ce moment là je saisi la leçon ... je devrais  me battre bien davantage contre mes sens,que contre les attaques de cet hommes....


PASSE MAINTENANT AU CHAPITRE SUIVANT:REPAS DES MAÎTRES





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