c'est hors de question

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choix b 

-c'est hors dequestion, je m'emporte surprise de l'aplomb avec laquelle ma voixfend le silence tendu et la réplique dumaître sorti tout aussi sec, empreint d'une franche agressivité

-salle garce!

sans attendre je suis traînée par mon collier vers le cheval d'arçon, le maître me maintenant volontairement près de sol, m' imposant ainsi de medéplacer a genoux. on dévalenten un éclair les quelques marcher qui nous sépare du plancher debéton,moi peinant à le suivre sur la froidure, agressante imposera mes jambes qui ne m' obéissaient plus, paralyser par la peur. Il n'est pas longque je me  retrouve le ventre posé sur le cheval, on m' enchaîne les chevilles a même le sol , m'obligeant à me pencher par dessus l'obstacle devant moi  . Puis mes poignets sont lier a une lourde chaine  elles même  fixées auxanneaux enfoncés dans le plancher de béton loin devant moi . j'arrive  avec difficulté à me mettre la pointe de mes  orteils au sol et de l'autrecoté de l'objet massif, mes cheveux  frôlent pratiquement le sol . La tensionimposée aux chaînes m' impose une parfaite immobilité, touchanta peine le sol, je prend pleinement conscience de la précaritéde ma position en ressentant constamment mes liens, mais aussi de l'audace de ma position, le derrière clairement offert 

Le jouet dont je  reçu l'impact sur la fesse droite me  surprit d'abord  , cesifflement aigu, suivi de cette application presque discrète sur machair irradiant  rapidement la douleur, s'immisçant sur ma peau siprofondément que  j'en perdit le souffle . pendant une seconde prise de panique  je tente , en vain, de relevé la tête . trop rapidement un deuxièmesifflement se fait entendre... avec le frôlement sur ma fesse gauche et avec cette douleur si particulière. Les quelques minutes qui suivirent ne diminuent en rien l'intensité de la douleur qui augmentant plutôt cette sensation, de me faire marquer aufer rouge . L'objet souple sifflant autour de moi en fendant l'airme donne la chair de poule. je sens l'enflure de ma peauaussi distinctement que si je  l'avait vu pendant que le maîtrelaissait une deuxième marque sur ma fesse droite a quelquemillimètre a peine de la première, puis un quatrième coup suivi...

ainsi montortionnaire prenait son temps entre chaque percussion sourd  a mes larmes et a mess  supplications , le derrièredans les airs, comme pour s'assurer de l'impact de la douleurpénétrant en moi  aussi certainement qu'un coup de bassin auraitpu laisser sa trace en moi. ma seule, faiblevictoire , est  le silence de l'homme qui, maintenant, neriait plus,  il portait ses coups aussiprécisément qu'une horloge qui mesure le temps.

je tente  de demander clémence au début, mais  abandonne vite, consciente del'irrémédiable de ma  situation.je  fini par abandonner toutelutte, laissant mes larmes couler en silence pendant que mes muscleset mes nerfs se détendent d'instinct. et affaler sur ce chevalde bois je  goute à ma premières séance de baguette. a traversdes cris de douleur que je ne peut retenir, et des larmessalées qui inondaient mon visage, rougie par cette positioninsolite.

La séances'étendie dans le temps, et le maître parfois impose la finelanière de bois rond sur ma chaire déjà rougie peu avant, alorsmes cris se transforment en hurlement, et le maître toujoursindifférent poursuit sa besogne

-puis cetteceinture salope ? demande parfois le maître

mais ayantdéjà trop souffert, je me mure  dans un mutisme buté, qui me valait a chaque fois  une autre série de coup de baguette après trois ouquatre tentative du maître, pour me  convaincre d'abandonner maprotection je ne sens plus sur mes fesses qu'une vivesouffrance, une chaleur constante qui me brûle le postérieuraussi certainement que si je m'était assise sur un rond decuisinière rougit.mon sentiment d'être prise au piège devient de plus en plus intense, la mémoire de mon corps sur ce même sentiment des année plus tôt ouvrit une brèche, sur des souvenirs que je peine a garder loin de ma conscience 

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