l'arbre de métal

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chapitre 10



Mes deux jour de congés  me font le plus grand bien . Cela me permet de passer mes journées dans un certains sentiment de sécurité, et de me refaire des forces pour la suite.je fait également plus ample connaissance avec la petite boule de poil que m'a offerte mon ''propriétaire''

Châl de son petit nom passe en fait la plus grande partie de ses journées à courir partout, comme un enfant a la découverte d'une nouvelle salle de jeux. et j'ai a le ramener à l'ordre quelque fois quand il décide de faire son repas, du bouquet de fleurs que m'a  envoyer  dame amarante au lendemain de cette soirée si particulière.

je passe surtout la journée a me remettre les idées en place , je passe en revu la liste des personnes rencontrer tentant de les classer dans ma tête :de qui me protéger le plus, si pour certain cela est évident j'avoue que pour d'autre la tâche était moins facile. j'en conclu après mûre réflexions que seuls deux personnes peuvent éventuellement être de bon soutient, Dame Amarante et la petite léhty , Châl  coupe court a mes réflexions, se blottit ronronnant sur mes genoux , cherchant de sa petite pattes ma mains pour quémander des caresses...

L'arriver d'une missive avec un merveilleux bouquet de lys à la fin de ce deuxième jour de repos me rend un peu  nerveuse.comme je m'y attends, elle confirme la première visite de séance pour le lendemain au soir.Sans d'autre information. Le petit mot, écrit a la main, ne contiens aucune signature, mais peu m'importe puis ce que j'en connais l'instigateur, aussi je dépose  le bouquet a l' endroit le moins visible de mon petit salon , déchire la missive que je jette dans ma corbeille a papier  .

je me  lève tôt le lendemain, refusant d'admettre ma nervosité et son origine,le petit animal, qui partageait ma couche la nuit est beaucoup plus calme en cette troisième journée, et pendant la journée j'ai de long moment d'absence, et en fin d'après, je commence ma préparation. Choisissant une jupe mi-longue et une chemise grise qui met en évidence ma poitrine généreuse.sans arriver à me convaincre que je ne tente ainsi de satisfaire aux attentes de l'homme que j'attends avec tant d'appréhension.je viens a peine de me chausser que Christobald entre dans ma chambre, lui-même vêtu d'un ensemble de toiles grises qui fait ressortir son regard froid.

Derrière lui, comme les fois précédentes, Enzo suit, avec la desserte, contenant un repas froid et plusieurs boissons. Monsieur s'assit sur le fauteuil devant la porte vitrail, et m'invite d'un geste à s'asseoir  face à lui. Ce que je fais sans un mot, les mains croisées, le regard vers le sol, pour dissimuler la peur qui s'insinue en moi.

Christobald me regarde visiblement satisfait de ce qu'il vois, et me facilitant  les choses prend  le contrôle de la conversation, il débute par des félicitations pour ma docilité de l'autre soir, ce qui, me fait rougir , quels souvenirs de cette fête a deux me porte a être  trop droite dans mon fauteuil? la  gêne , la colère,l'indignation ou d'autre émotion que je n'ose me rappeler,

il me demande de lui préparer son café , j'obéis sans un mot mais déjà l'instinct de survie s'installe 

-Ce soir ce sera noir sans sucre, mais j'ai des goûts changeant alors demande, a chaque fois. Ce sera l'une des tâches de me servir  lors de nos rencontres. je me limite a un signe de la tête 

-''oui monsieur'' me reprend  christobald , je répond d'un ''oui monsieur'' laconique et beaucoup trop appuyé,mais l'homme concerner ne relève pas l'impolitesse et poursuit.   

-ton chaton ?

-Dans la salle de bain.... ''Monsieur'',le dernier mot ajouter devant le regard entendu de christobald.

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