Subir

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Chapitre11

choix b

sous le regard insistant, de Christobald, l'esprit embrouiller pas des images des plus spectaculaires , je murmure un  ''SUBIR'' a peine audible.

Puis les évènements déboulèrent à une vitesse surprenante, mon maître et Enzo m'encadrèrent pour me dévêtir, avant que christobald ne sorte de sa poche la clef de ma ceinture de chasteté aussi,  j' ai mouvement de recul, retenus des bras solides du valet pendant qu'on me libère de ma ceinture. Christo se redressr et me fait face, me dit d'une voix rassurante

-Nul ne te prendra ce soir... a part moi, tu saisis ??

et sous le regard sans équivoque de mon joaillier je n'arrive a trouver la force de répondre que par un simple hochement de tête.

je remarque que  deux hommes en toxedo ,s'avancent avec des caisses, les déposant devant l'une des tables.ils m'invitent à les suivre, m'aidant a monté sur ces objets de bois superposée pour en faire un escalier des plus précaires, les deux hommes qui, me soutenant par les bras se rassasiant de ma nudité , et obéissant a la voix de mon maître, je m'allonge au centre de cette longue table.

On m'enserre les chevilles et les poignets de  bracelets de cuir pour me fixée en étoile au centre de la table , sous ma tête et mes genoux, on place des coussins pour mon confort, et libérer de tout autres objets la table où je trône maintenant comme une pièce maîtresse d'un repas voluptueux.je  n'ose assumer la réalité qui m'attendait fuyant mi-anxieuse, mi intimidé, regardant maîtres et soumis s'amuser sur les corps offert. Doutant de mon choix mais consciente de ne pouvoir revenir en arrière.

Vis-à-vis ma mains droite, on attache un homme, qui les reins enserrer de cordes dû déposé sur la table son membre flasque, une chaise trop haute derrière lui, lui imposait une position mi-assise, mi debout, et les cordes qui lui encadraient les reins empêchait tout recul de sa part. les mains barrer derrière son dos, la bouche couverte, il ne pouvait qu'attendre.

À ma gauche , on ligote une femme, dont la forte poitrine était déposée a même la table,assise sur un petit tabouret, on badigeonne ses seins de confiture,après avoir fixé sur ses mamelons une paire de pinces, un homme lui demande d'ouvrir les lèvres, et lui incére un anneau de caoutchouc, lui fixant l'objet serti d'une corde derrière la tête. L'objet particulier eu un effet immédiat, empêchant a la jeune femme de refermer la bouche, pour lui permettre, avaler sa salive, qui s'égouttait déjà a grosses gouttes de son menton,vers son cou.

À droite de cette femme le visage à demi couvert un homme gémissait. Celui-ci, le collier fixé a même la table, les mains ligoter dans le dos, le derrière offert,semblait recevoir, une gâterie de la part d'une personne s'étant faufilé sous la table. Puis je vois revenir les quatre hommes m'ayant déposé sur la table, avec entre les mains des pots d'aliments se glissant entre les personnes ligoter. Ils entreprirent de déposer sur mon corps bon nombre de sucreries, l'un caressais ma poitrine des deux mains, m'enduisant de coulis de bleuet.je sens sur ma peau les granule encore chaude frotter sur ma chair, pendant qu'une goutte à peines plus chaudes s'aplati en un rythme régulier entre mes jambes et sur mon sexe, libre de toute entrave.


Du bas de mon buste vers mon pubis je me transforme en un gros morceau de chocolat vivant, le pot déverser en une seule fois sur mon nombril, me saisi et est  étendu par deux paires de mains avec des mouvements si sensuel que j en perds momentanément contact avec la réalité. mon visage, mon cou, enduit de couli a la cerise , pendant que, sur mes jambes et mes pieds, on dépose du beurre de cacahuètes. Comment expliquées que ces caresses presque impersonnelle, et si voluptueuse ne m'inquiètent pas, comment comprendre ce sentiment de sécurité, si injustifié à travers cette foule d'inconnus... et pourtant,  sans me sentir a ma place pour autant je ne  ressens aucun sentiment d'urgence.

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