~tout va bien~

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Salut! Voilà un nouveau chapitre de "complètement malade de toi" après une éternitééééé sans poster. Comme vous l'a dit ma cousine dans le chapitre précédent, c'est moi qui possède son compte wattpad! Je vous avoue que je suis déjà en écriture d'une autre histoire gay, pas pareil que celle-ci mais je veillerai à bien terminer cette histoire tout d'abord. Je pense la terminer d'ici un a deux chapitres! Ne vous inquiétez pas si l'histoire est toujours mise à jour c'est juste que je corrige les fautes qu'elle a faites ou change quelques phrases mais vous n'êtes pas obliger de tout relire. Voilà, j'espère que vous ne verrai pas trop de changements entre elle et moi et que vous allez continuer à aimer l'histoire! Sur ce, bonne lecture!!!

-comment te sens-tu?

La jeune fille était posséder d'une multitude de sentiments. Elle ne saurait ajouter des adjectifs à ces sentiments. Elle était mélanger entre la tristesse, la haine, et de la joie. Car oui, au fond d'elle, elle était heureuse d'avoir enfin les réponses aux questions qu'elle se poser depuis si longtemps. Même si ce n'est pas les réponses auxquelles elle s'attendaient. Mais là, elle n'avait pas envie d'en parler. Elle voulait juste profiter au maximum d'Anthony. Ils sont dans la chambre de celui-ci, lui dans son fauteuil, elle sur son lit.

-je suppose que tu ne veux pas en parler mais sache que si tu veux, je suis là.

Il a toujours les mots qu'il faut, au bon moment. C'est comme si il lisait en elle comme dans un livrre ouvert, il sait ce qu'elle ressent à chaque instant, ce qui le rend encore plus parfait. Inès admire tellement cette confiance qu'il a en lui, ce courage, cette force après tout ce qu'il a vécu. Il lui a redonné espoir en la vie, elle qui n'y croyait plus. A ce moment elle veut juste l'embrasser, le toucher, le carresser jusqu'au bout de la nuit, jusqu'à que seul la mort pourra les séparer. Elle est tellement contente de l'avoir rencontré. Ca aurait tellement été le meilleur moment pour lui annoncer la nouvelle mais elle ne voulait pas gacher ce moment. Elle se met simplement sur ses genoux, le coeur lourd, et lui carresse sa joue.

-je suis tellement heureuse de t'avoir rencontré. Tu ne peux pas savoir à quel point. C'est la première fois que je m'attache à quelqu'un aussi vite et autant que ça me fait même un peu peur mais si c'est toi, alors je n'ai pas peur.
-pourquoi aurais-tu peur?
-j'ai peu de ce que l'avenir nous réserve. Je n'aime pas les surprises.
-moi non plus je n'aime pas les imprévus. Avant que tu arrives, j'avais une vie des plus normale. C'est tellement ironique de dire ça alors que ma vie n'est pas normale mais disons que j'avais toujours les mêmes habitudes. Mais ça, c'était avant que tu arrives dans ma chambre cette nuit. Dès le premier regard, je t'ai trouvé bien triste mais tu souriais et on aurait dit que tu me souriais, à moi. C'était idiot, étant donnné qu'on ne se connaissait pas mais...Je ne sais pas, ton sourire...M'apaisait.
-t'apaisais? Tu paraissais pourtant tellement calme et sûre de toi!
-et pourtant, au fond, je...

Anthony ne savait pas si il devait avouer à Inès qu'il faisait des cauchemars tout les soirs. Il trouvait cela tellement pathétique et il n'avait pas envie de voir de la pitié dans ses magnifiques yeux qui le regardent avec admiration. Mais d'un autre côté, il se sentait mal de ne rien lui dire alors qu'elle venait de lui faire une petite déclaration d'amour. Il mis alors sa fierté de côté et lui avoua.

-ne te moques pas mais...Je fais des cauchemars tout les soirs. C'est pour ça que je ne dors pas, pour évité d'en faire. Pour éviter d'avoir tout les souvenirs qui reviennent. Je...

La jeune fille reste sans voix, face à cet élan de confession venant de son petit ami. Il affiche une mine coupable, l'air de regretter quelque chose et de culpabiliser. Elle ne veut pas l'interrompre, de peur de rompre ses pensées. Contre toute attente, il éclate en sanglot.

-c'est de ma faute. Tout est de ma faute. Je n'aurai jamais du lui parler, à cause de moi ils sont morts et moi, MOI, pourquoi je suis toujours en vie ? Je n'ai rien demandé moi! Mes putains de parents sont morts, ma petite soeur aussi, tout ça part ma faute! Et c'est moi qui suis encore en vie?

Inès croit bien ne l'avoir jamais vu pleurer. Elle l'imaginait tellement fort mais pleurer n'est pas un acte de faiblesse. Elle n'imaginait pas à quel point il était cassé de l'intérieur et cela la brisait tout autant. Même si elle ne savait pas toute l'histoire, elle ressentait toute la culpabilité qui rongeait Anthony chaque nuit. Elle lui remarqua tout à coup un air fatigué, comme si il n'avait pas dormi depuis plusieurs années. Ce qui était sans doute le cas. Le voir pleurer lui brisait le coeur. Elle le prend dans ses bras et colle ses lèvres sur les siennes, salées par les larmes.

-oh mon coeur, tout va bien. Ce n'est pas de ta faute, tu ne pouvais rien faire.
-si, j'aurai pu éviter tout ça!

Lui, arrivait toujours à trouver les mots juste pour elle mais elle, était terriblement gênée. Elle ne savait pas si elle devait faire ci ou cela. Au bout d'une dizaines de minutes, les sanglots d'Anthony se calmèrent mais ses yeux étaient toujours baignées de larmes et ses mains tremblaient toujours un peu. Il avait toujours eu honte de pleurer, surtout devant les filles qu'il estimait plus faible que les garçons, même si son jugement est remonté de mille pourcent depuis qu'il a rencontré Inès. Il se souvient de la fois où son père avait pleurer. Sa mère l'avait pris dans les bras, elle lui avait murmurer des mots doux à l'oreille et Anthony c'était jurer de trouver une fille aussi attentionnée que sa mère. Il croit bien l'avoir trouver ce soir, après que celle-ci a enroulé un bras autour de son cou. Anthony aimait cette odeur, une odeur de...il ne savait même pas quelle odeur elle avait mais il aimait. L'odeur comme la personne.

Complètement malade de toi.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant