Chapitre 26

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Cheikh Tidiane en média 👆

J'ai écris ce chapitre, en étant pas trop inspirée😁, pas très en forme😏, et assez stressée. Mais j'espère cas-meme que ça vous plaise. Bonne lecture.

Partie Cheikh

-Attention ! Il ne faudrait pas que tu te casse ce jolie petit minois lui murmurais-je à l'oreille.
Elle se degage de mon emprise un peu trop brusquement. Ce qui me fit rire.

-Tu... Comment sais-tu que je travaille ici? demanda t-elle encore

-Mystère...

Elle me jette un regard pleins d'interrogations.

-Suis moi mon bureau est en haut me dit-elle en montant les escaliers et d'une manière maladroite et plus que nerveuse. Je la comprends aussi après ce qui c'est passer hier, moi aussi je suis dans un de ses états.

Je la regarde monter et toute l'envie que j'avais hier me revient en plein gueule. Mon Dieu! Quelle fille! Qu'elle derrière! Je bande rien qu'en la regardant. De puis que j'ai posé mon putain de regard sur elle, je n'ai qu'une envie: me la faire, mais à un tel point que s'en est inquiétant. Je fantasme sur elle depuis que je l'ai vu au restaurant. Je la veux dans mon lit. J'ai une furieuse envie de m'emparer de son corps au formes généreuses. Et hier je pensais que j'allais assouvir mon fantasme mais à la dernière minute, elle s'était barrée comme ça, comme une folle. Mais n'empêche, je coucherai avec elle. Aucune fille n'a jamais résisté à Cheikh Tidiane. Et c'est pas encore près d'arriver. Je souris et décide de la suivre. Si Bachir m'entendait tenir de tels propos il m'étranglerai, coucher avec l'amie de Maï pour le plaisir n'est vraiment pas une bonne idée. Mais qu'est-ce j'y peux, je suis comme ça, je couche avec toutes les femmes qui me font envie. Je ne sais pas entretenir de relations sérieuses donc... En plus aucune femme n'a jamais éveillé en moi l'envie l'être avec elle. Et puis j'adore trop m'amuser pour être fidèle et sérieux.

-Assieds-toi Cheikh me propose t-elle en me désignant une Cheikh lorsqu'on pénétre dans son bureau.
Elle a l'air si tendu et mal à l'aise que j'ai envie de me marrer comme un con. Au lieu de m'asseoir, je m'approche d'elle ce qui la fit reculer, jusqu'à se retrouver coincée entre le mur et moi.  Bon sang la chaleur qui émane de son corps était presque brûlante. Cette fille m'attire tellement que je bande rien qu'en étant proche d'elle. J'ai couché avec bon nombre de fille mais c'est la première fois que j'en ai autant envie.

-Pourquoi tu a fui hier soir? lui demandai-je en la regardant droit dans les yeux.

-Je... Ce n'était pas une bonne idée. Ce qui s'est passé n'aurait jamais dû se produire me répond t-elle en fuyant mon regard.

-Tu es sûre? C'est pas l'impression que tu m'a donné. Ou tu veux que je te rafraichisse la mémoire lui dis-je en m'approchant de plus prés de ses lèvres. Tu veux que je te rappelle comment tu gémissais mon nom quand je te caressais partout?

-C'est anormal ce qu'on fait... On.. Ne se connait même pas toi et moi... Et...

Elle n'eu pas le temps de terminer sa phrase que je commençais déjà à caresser sa lèvre inférieure avec ma langue. Je voulais la torturer mais j'eu pas le temps de continuer puisqu'elle m'embrasse avec une telle fougue que j'ai failli tomber. J'attrape sa main baladeuse, que je plaque ensuite contre le mur au dessus de sa tête, pour prendre entièrement contrôle de son corps. Avec l'autre main, je descends la fermeture éclaire de sa robe. Le haut de celle-ci venait de tomber libérant sa poitrune complètement nue. Non elle voulait me tuer ou quoi, elle n'a même pas mis de soutif. J'y j'étais un coup d'oeil qui traduisait tout le désir qui m'animait en ce moment, avant de fixer son visage qui était perlé de quelques gouttes de sueur bien qu'il ne faisait pas chaud en ce mi-mois de décembre. Je caressais son épaule puis sa clavicule, avec une lenteur proche de la torture.

Désespérément, MaïmounaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant