Réconciliation

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Salut les cocos je ne vous avez pas trop manqué j'espère. En faite la santé n'étais pas au rendez-vous. J'avais une grippe qui avait du mal à partir. Mais ça va maintenant. Alhamdoulilah.

Voici deux partie pour me rattraper et une autre que je publierai ce soir. Bonne lecture.❤️

Partie Maï

-Cheikh laisse moi je veux partir.

Il ne m'écoutait pas et ouvrit la porte de la pièce. Il était là. Plus beau que jamais. Il était toujours aussi parfait. Je le fixais du regard comme hypnotisée. Mon coeur battait de plus belle. Cheikh refermait la porte derrière moi, me laissant toute retournée.

-Princesse je t'attendais !

Mon corps frissonna! L'entendre m'appeller ainsi provoquait toujours en moi une plaisir inouï. Et plus maintenant parce que cela faisait des jours que je ne l'avais ni vu ni l'entendu m'appeler princesse. Il m'avait manqué oui, terriblement. J'avais l'impression que mon coeur revivait en le voyant là devant moi. Tandis-que je continuais à le fixer des yeux sans bouger, il se dirigea vers moi. C'est lorsqu'il m'embrassa sur la joue ou dois je dire sur le coin de la bouche que je réagissais, plus à ce contact extraordinairement agréable que pour autre chose. Je reculais. Il souriait.

-Tu sais que tu n'es pas convaincante Maï? Tu adores que je te touche. Ça se voit dans tes prunelles que tu a envie autant que moi que tout ça se termine. Tu ne peux pas vivre sans moi et non plus je ne pas vivre sans toi. Tu le sais Maïmouna. Pourquoi tu fais tout ça?

Il était redevenu sérieux. Maintenant c'était lui qui me fixait du regard. C'est vrai qu'il avait raison sur un côté. J'adorais qu'il me touche et je ne pouvais pas vivre sans lui. Je le fais difficilement en ce moment... Mais j'essaierai. Après ce qu'il m'avait fait j'y n'arriverai.

-Quel toupet! Tu es séreux là? Tu t'entends parler? Je n'arrive pas à croire tu me dise ça. Toi tu ne peux pas vivre sans moi tu dis? Alors que tu n'as pas hésité à accueillir dans tes bras la première venue. Je t'interdis de dire ça. Tu m'a compris?

-Maïmouna je peux savoir ce que tu me reproches exactement? La dernière fois tu m'as parlé de fille et maintenant encore. Je ne sais pas ce qu'on a bien pu te raconter mais c'est absolument faux.

-On ne m'a rien raconté je t'ai vu. Je t'ai vu de mes propos yeux avec la Fatima. Alors arrête ton petit jeu ça ne marche plus avec moi. Je n'arrive toujours pas à croire que tu la voyais en même temps que moi. Vous avez bien été malins tous les deux. Je viens de tout comprendre maintenant. Au restaurant quand je t'avais dit qu'elle m'avait menacé tu l'avais défendu. C'était plus qu'évident. Je n'avais rien compris.... Et pour combler le tout tu l'as invité à passer la nuit avec toi et chez toi en plus. Donc ne dis plus jamais que c'est moi qui nous fait du mal. Au contraire toi tu as brisé mes espoirs, tu m'a fais mal. Même si je t'aime en a mourir, et plus je ne l'aurais voulu, je te pardonnerai jamais ce que tu m'as fait.

J'avais parlé avec toute la colère que je ressentais depuis des jours. Je pensais m'être défoulé en lui sortant tout ça mais je me sentais encore plus mal. Je n'aimais vraiment pas ça. Je regrettais même de lui avoir parler de cette manière. Néanmoins je décidais de m'en aller de cette endroit. Je tournais les talons, claquant la porte derrière moi. Mes larmes coulaient à flot et venaient s'écraser contre le gros pull que je portais. Je pense que maintenant tout est terminé pour de bon. A cette pensée, je sentais le désespoir me gagner. J'essuyais rageusement mes larmes. Je ne peux pas me laisser aller ici. Non!

Désespérément, MaïmounaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant