Partie 1

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Depuis quelques jours déjà, j'avais l'impression que Sherlock me cachait quelque chose. Il ne partait pas de l'appartement sans rien me dire et ne m'évitait pas forcement non plus. J'aurais plutôt tendances à dire qu'il faisait des choses inhabituelles. Cette semaine, il m'avait proposer d'aller faire l'épicerie. Il prend soin de son corps, mange plus souvent et je l'es même surpris au téléphone avec son frère ! Bien-sûr, j'étais conscient que je devrais m'en réjouir au lieu de me poser des questions, mais cette intuition en moi ne voulait pas partir. Peut-être avait-il finit par grandir ou bien il aurait rencontré quelqu'un. Mon cœur se serra à cette pensée. Sherlock aurait-il trouvé l'amour avant moi ?

Nous étions encore tôt le matin, je portais ma chemise foncé ligné blanche et ce sans pantalon. Seulement un sous-vêtement suffisait vue la longueur de mon haut. Je glissa mon corps en soupirant sur mon fauteuil, une tasse de thé encore fumante sur la table de chevet. Cela serait plus simple de lui demander mais j'avais peur qu'il le prenne comme une remarque et redevienne... lui-même ?

Je sorti légèrement de mes pensées en entendant mon colocataire derrière moi qui était lui assis à la table de la cuisine. Il faisait.. je ne sais quelles expériences tous en marmonnant des mots incompréhensible. Voyant que je n'écoutais guère ces paroles: il haussa le ton.

Bien qu'il était encore tôt le matin le frisé était déjà tous en habit. Il portait tous en noir de la chemise aux chaussettes. Son allure charismatique contrastait énormément avec cette attitude enfantine.

-    John ! Cesse donc de rêvasser et viens ici j'ai besoin d'un deuxième avis sur mes observation.

Cette façon de parler pouvait paraitre agressive pour certains mais lorsqu'on connait Sherlock on finit par savoir ces habitude. Je ne connais que deux personne dans ce monde que le détective tutoie ; moi et son frère Mycroft.

Voyant la main de Sherlock pianoter sur la table j'en vins à la conclusion que je n'arriverais pas à lui faire croire que je n'étais pas présent. Ce n'est seulement qu'une fois debout près de lui qu'il prit la peine de retirer son œil du microscope. Il passa son regard sur moi de haut en bas puis de bas en haut comme s'il était un putain de robot d'analyse. Je fronça les sourcils, je détestais lorsqu'il m'analysais ainsi. Il sembla comprendre le message et remis son œil dans le microscope. Cet homme parlait si vite que parfois j'avais de la difficulté à le suivre. Je compris néanmoins qu'il voulait que je regarde si effectivement il y avait eu une décoloration notable sur son échantillon.

Une fois son explication fini et son œil de nouveau sorti de l'outil probablement volé à Molly hooper j'eu le champ libre pour faire mes propres observation selon les désire de monsieur. Mais alors que j'allais me pencher pour faire l'observation Sherlock m'arrêta.

-    Non, John ! Pas comme ça !
-    Sherlock, je sais comment me servir d'un microscope.
-    Je ne parle pas de ta technique John mais de ta tenue comment veut tu te concentré sur mes expériences alors que tu es si peu vêtu ? Si le corps n'est pas parfaitement confortable dans ces habits ou encore avec l'espace qui l'entoure il lui est impossible de réfléchir convenablement.

Je leva mes sourcils étonné, je sais pas vraiment si c'est le fait qu'il s'occupe de mon confort ou encore le drôle de fait qu'il semble parler pour lui qui me trouble le plus. Sherlock Holmes serait-il malaisé de me voir ainsi ? Je repris vite un visage neutre pour ne pas à avoir à justifier mon étonnement puis je regarda à mon tour dans le microscope.

-    Je suis parfaitement à l'aise dans mes vêtements, merci.

Après quelques minutes d'observation je donna mon idée sur la question de la décoloration mais le plus grand semblait tout un coup ne plus s'en préoccuper. Il nota lâchement quelques-unes de mes observations puis se leva de table pour disparaitre dans sa chambre. Je pensa alors que Sherlock était peut-être pas habitué à une certaines nudité chez ces proches. Il était évident que Mycroft ne c'était jamais présenter ainsi vêtu devant lui. En contre parti le frisé avait pour habitude de se promener avec comme seul habit un draps pour le couvrir. Je soupira de nouveau après avoir vérifié l'heure je n'aurais pas le temps de régler ça avant de partir pour l'hôpital.

(Voilà c'est la première partie de mon petit Johnlock ma deuxième parti risque fortement d'être la vision de Sherlock de la même scène.)

(Petite modification quelques mois plus tard pour vous inciter à lire la suite, je promet que mon style d'écriture et mon orthographe s'améliore dans mes parties alors merci de résister <3)

Le plan des Holmes Où les histoires vivent. Découvrez maintenant