Partie 3 (Vue de John)

2K 135 6
                                    

Depuis mon départ de ce matin à l'hôpital j'ai à peine eu le temps de respirer ! Quel ennuie de devoir passer des patients dans ce temps de l'année. L'hiver n'était pas encore arrivé mais le froid et le rhume qui viennent avec étaient bien là! J'arrivais à peine à différencier les pleures d'un enfant enrhumer de ceux de leurs parents épuisée. Une fois ma journée terminée et bien assit dans le taxi je me demanda à quoi ressemblait un Sherlock malade dieu du ciel cela devait être une vrai corvée faites qu'il ne tombe jamais malade. Une alarme de texto provenant de mon téléphone me retira de mes pensées.

Lestrade avait une toute nouvelle enquête pour nous, enfin quelques choses qui me sortirais un peu de mes journées monotones a l'hôpital et qui pour le même prix débarrasserais un peu notre table de cuisine de toutes les expériences de Sherlock!

A peine étais-je rentré dans l'appartement que je vis Sherlock sauté de joie peut être venait-il tous juste de recevoir le message de notre cher officier de police. Il semblait diffèrent peut être que l'enquête le m'étais plus en joie que je ne le croyais.

Sherlock : C'est fantastique John deux corps retrouvé dans une usine de traitement d'eau !

John : Peut-être devrait-tu pas être si heureux d'apprendre que deux cadavres ont été retrouvé Sherlock.

J'étais entrain de retiré mon manteau d'hiver quand je senti deux grandes mains se poser sur mes épaules et me retourner brusquement. Je fronça les sourcils en regardant le détective sans vraiment comprendre.

Sherlock : Mais enfin John ! Ils sont morts. Tu devrais aussi te réjouir du fait qu'on les a découverts sinon tu aurais pu boire une partie de leurs cadavres.

Je m'écarta de son emprise en soupirant. Il avait bien raison mais si ces deux corps ont été découvert à cet endroit alors ces forcement que quelqu'un les y a mis.

John : Tu as une idée de ce qu'ils auraient pu se passer ? Peut-être un tueur en série.

Sherlock : Je dois voir les corps pour affirmer une théorie. Voudrait tu m'y accompagné ?

À peine m'avait-il poser la question que je referma mon manteau et le suivis quelques pas derrière jusqu'à la rue. Il était là dans son grand manteau noir, les bras en l'air pour attirer un nouveau véhicule. C'est dans ces moments que je trouvai mon colocataire et ami très attirant. Ces yeux brillait comme ceux d'un enfant et son physique élancé et classe étaient bien différent de l'univers gris des rues de Londres qui l'entourait.

Le plan des Holmes Où les histoires vivent. Découvrez maintenant