Partie 14 (Sherlock)

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Une fois arrivé à l'appartement j'insista pour que John commence son enquête. Je n'étais pas encore sur de ce que je souhaitais faire de cette opportunité, je souhaite simplement pouvoir m'approcher de lui.

Parlant de rapprochement. Je me leva et parti derrière John. J'aime le voir travailler, la déduction est plus facile chez John. Si c'est sourcils sont froncés alors il cherche la bonne phrase, s'il se gratte le nez il cherche a se souvenir d'un détail et s'il sourit en coin alors je sais qu'il est entrain de romancer mes enquêtes. Je n'étais pas fans de ces histoires mais ce sont elles qui ont fini par m'atteindre j'en suis sûr. Cette façon qu'il a de me décrire avec tant d'admiration. Je me souviens avoir notre première enquête ensemble et d'en avoir eu chaud au joue. Il avait utiliser si souvent les mots extraordinaire et intelligent. Moi qui n'avais jamais été si apprécié j'en est fait une obsession, une drogue.

Je colla mon torse contre ces épaules et laissa ma tête ce pencher près de la sienne. Je n'étais pas seulement venu pour exploiter notre amitié je voulais aussi savoir où il en était rendu.

John: Sherlock, je viens à peine d'ouvrir le dossier que Lestrade nous a envoyé. Et ne reste pas ainsi derrière moi.

Laisse moi rester John, ne comprend tu pas que j'aime tous simplement être près de toi?

Sherlock: Suffit. Tu a besoin d'être encadré si je veux que tu réussisse à comprendre cette énigme.

John: Sherlock! Je ne suis pas un enfant. Maintenant pousse toi je te ferais signe lorsque je tomberais sur une piste.

Je décida de me relever et de partir sans un mot à la cuisine. Je devais me changer les idées. Je ne sais pas pourquoi je me laisse autant perturber par ces sentiments que j'ai. Je suis heureux d'avoir rencontré John et d'en avoir fait mon partenaire mais cela aurait été beaucoup plus facile si je ne l'avais jamais rencontré. Les émotions sont la failles des humains, le virus du cerveau, le...

Je souffla un peu remarquant que j'avais mélangé mon expérience et ma tasse de thé de se matin, foutu émotions. Tans pis je dois me concentré sur autre choses. Je pris mon téléphone et envoyer un texto à mon frère.

« Arrête de perturber Lestrade, ces conflits amoureux comment à le rendre moins efficace. Ps: Je passerai te voir se soir c'est à propos de John. -S.H. »

« Je ne suis pas libre se soir. Je t'expliquerais un autre jour comment l'on fait des enfants, pour l'instant ne t'inquiète pas John ne peut pas tomber enceinte. -M.H »

« Heureusement que je sais que les hommes ne peuvent pas tomber enceinte sinon je me poserais des questions vue le poids que tu a pris dernièrement. -S.H. »

« Si tu m'étais autant d'énergie pour démontrer ton affection à John que tu en prend pour m'insulter, tu verrais moins de femme dans son lit -M.H. »

« Va te faire foutre. -S.H.»

« Je te renverrai bien le message malheureusement je doute que tu ne puisse y arriver. -H.M. »

« Si tu te fait Lestrade assure toi qu'il retire son alliance je ne voudrais pas qu'elle reste prise dans ce trucs flasque qui te sert de derrière -S.H. »

« Ne t'inquiète pas Sherlock, je garderais son alliance, comme ça tu pourra l'offrir à John lorsqu'il voudra fiancé sa prochaine petite copine. -M.H. »

Je ferma le téléphone dans un grognement, alors que John arriva au même moment dans la cuisine. Il me parla de Lestrade, je lui parla alors de Mycroft. Je savais que mon frère voulais que cela reste secret mais il n'avais qu'à pas me provoquer de cette façon.

John: peut-être devrais tu faire comme Mycroft et organiser des petites soirées en cachette avec elle...

Sherlock: Peut-être devrait tu écouter lorsque je te dit ne pas aimer Irene.

John: Oh Sherlock. Cesse d'être prétentieux tu n'est pas le seule à savoir faire des déductions.

Mon coeur se serre. J'ai envie de lui crier de se taire et qu'il est complètement idiot mais je serre simplement les dents. Je trouverais un moyen plus tard de lui expliquer.

John semble comprendre que je ne parlerais plus. Il retourne à son ordinateur avec une grimace au visage. Notre situation reste ainsi une bonne partie de la soirée. Je pense à comment lui parler mais je déteste ce genre de conversation. Je opte finalement après quelques heures à lui dire de façon net, precise et sans ambiguïté ce que je ressent.

Sherlock: John.

Je me lève de table et va le rejoindre au salon. Il reste dans son fauteuil et ferme son ordinateur un air un peu perturbé. Mon ton était peut-être trop direct. Je regarde son visage et perd un peu mes mots. Je dois lui dire peut importe comment.

John: Sherlock?

Sherlock: Je voulais te dire quelques choses.

John:...

Je soupire toutes mes belles phrases on disparu. Je sort une cigarette de sous le crâne de la cheminée et l'allume sous le regard désapprobation de John.

Sherlock: Ce que Mycroft ressent pour Lestrade. Je le ressent aussi. Enfin je suis pas en amour, enfin si je suis amoureux mais pas, pas d'Irène. Ce que j'essais de te dire c'est que je suis amoureux mais de quelqu'un comme moi. Enfin, pas comme moi, il est un peu plus vieux et petit. Pas vieux mais agé? Non. Pas agé mais pas de mon age non plus, pas que cela est de l'importance. L'important, pas l'important il n'est pas juste vieux et petit il est aussi très... il.. enfin nous travaillons bien ensemble et je l'aime. Mais ce n'est pas de base ce que j'essais de dire. Ce que j'essais d'expliquer enfaite est que je n'aime pas Irene enfin pas les femmes. Je suis, ou je sais pas si je le suis pour tous les hommes mais je le suis pour un hommes et..

John: Sherlock, Sherlock.

Sherlock: ...

John: J'ai compris, et c'est correct. Je te les déjà dit. Tous est correct, mais tu devrais en parler à ton frère et à Lestrade.

Sherlock: Pourquoi je?

Ah. Ce con pense que je suis amoureux de Lestrade n'est-ce pas? Au moins il a compris que je n'étais pas au femme. Je lui sourit et m'approche de son fauteuil écrasant la cigarette qui c'était éteint lors de notre conversation et dépose mes mains chaque bord de son fauteuil me penchant lentement.

Sherlock: Non. Je ne pense pas que tu es compris.

Sa bouche entre ouverte d'interrogation me donne l'opportunité parfaite pour.. me faire interrompre.

Lestrade visiblement sous l'influence d'alcool rentre dans l'appartement tenant par le poignet mon frère Mycroft qui lui semble un peu ennuyer par la situation.

Lestrade : Sherlock! Arrêter.. arrêter tous! Je veux des explications! John! Toi aussi, tous le monde.. tous le monde me doit des explications!

Mycroft: Lestrade tu vois bien qu'on les dérange.

Sherlock: Effectivement.

John: Mais non, on parlais justement de vous deux!

Mycroft: De nous deux?

Sherlock: Non, John j'essayais de parler plutôt de nous...

Lestrade: Mais personne m'écoute ou quoi!? Ma femme.. elle elle ma trompé! et après j'ai embrassé Mycroft! Et après...

John: Quoi?!?!

Lestrade: Quoi quoi??!!

Les quatres hommes se regardairent tous un peu perplexe. John pense que Sherlock aime Lestrade. Lestrade surpris du ton de surprise et de tristesse de John pense que lui aussi aime Mycroft. Sherlock lui reste encore choqué que son frère est été embrassé par quelqu'un et Mycroft se demande pourquoi John et Sherlock parlait de lui et Lestrade.

( En gros c'est la merde... bisous )

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