Partie 4 (Vue de Sherlock)

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Debout une main contre le mur je frôla mon érection en soupirant. La simple image que m'avais offerte John ce matin avait suffit à me mettre dans un tel état? Je détacha mon pantalon et décida de passer aux choses sérieuses en glissant ma main directement sur mon membre. Des images de John en habit armé et nue défilaient dans mon esprit presque aussi vite que ma main sur mon érection. Dans un dernier effort je soupira d'aise. Cela faisait bien une éternité que je ne m'avais pas fait autant de bien. Je me rappelle qu'à une époque je le faisais bien plus souvent mais sans jamais aucun support. Je ne pensais a rien en particulier, je savais juste que cette simple action avait pour effet de réguler mon humeur. C'était une période naïve de mon adolescence. Je me rappelle même malgré moi et dans la honte que ce fût Mycroft qui m'en avait parlé pour la première fois. Cela m'avait autrefois intéressé du point de vues scientifique mais lorsque la discussion divagua vers la sexualité à deux personnes j'avais rien voulu entendre et depuis ce temps l'ainé des Holmes est persuadé que le sexe m'alarme.

Une fois mes mains lavées (ainsi que mon mur) et mon corps dépouillé de toutes pensées et images sexuelle je pu reprendre mes activités. Malheureusement, John était parti et je n'avais donc que mon crane comme compagnons de recherches.
Durant cette journée des plus ennuyeuses je nota trois visite de Madame Hudson dont deux pour une tasses de thé et une suite à l'explosion du micro-onde. Je pu aussi observer la vitesse qu'elle gravit les escaliers selon l'urgence d'une situation et qu'elle avait rencontré quelqu'un vu l'achat d'une nouvelles robe. Toutes ces informations étaient complètement futiles mais en l'absence d'enquête l'ennuie me faisais faire bien des choses...

Je jouais du violon dans le salon attendant impatiemment l'arrivé de mon Docteur quand je reçus en message texte de Lestrade.
« Deux cadavres retrouvée dans une usine de traitement de eaux. Aucun coupable susceptible. Retrouvez moi sur les lieux du crime. Nous avons besoin de vous. »

J'adorais être ainsi demander par un enquêteur de police. Surement le moins idiot de tous Lestrade savait bien comment me faire participer à leurs enquêtes. Au même moment John arriva. On échangea quelques mots sur l'affaire lorsqu'il me réprimanda mon attitude. J'avais agis impulsivement et mes mots étaient sortis d'une voix grave et sérieuse. Je sentais bien le questionnement dans ces yeux mais je ne voulais plus le lâcher maintenant qu'il était là je n'avais qu'à m'approcher un peu pour obtenir ce que je voulais vraiment de Watson. En un mouvement précis il me glissa d'entres les mains et continua son chemin de façon extrêmement naturelle. Cela faisait quelques temps que nous habitions ensemble forcement il était habituer à mes agissement parfois spontané.

John : Tu as une idée de ce qu'il aurait pu se passer ? Peut-être un tueur en série.

Je me retourna vers lui dans un doux sourire. Certes il me réprimandait dans ma joie face au peut être meurtre de deux personnes mais lui il avait des étoiles dans les yeux en parlant de tueurs en série. Une fois l'invitation de m'accompagner fut accepter je m'arma de mon manteau et sauta les marches deux par deux afin de trouver un moyen de transport.

Le plan des Holmes Où les histoires vivent. Découvrez maintenant