Chapitre 5 (2/2) Le souvenir d'outre-tombe

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Voici la version corrigée de cette deuxième partie.  Toutes mes excuses pour la précédente version difficile à lire.

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Au bout du cinquième jour, ils avaient trouvé une entrée dans le quartier où ils avaient élus domicile. Ce nouveau lieu facilitait leur déplacement pour trouver ainsi la source de la magie à l'œuvre. Le général et Torvin soutenaient tout bâtiment important avaient un accès par le sol afin que partir rapidement en cas d'attaque, de siège ou d'autres activités sujette à un sac de problème. Selon les informations qu'ils avaient pu glaner, le duc descendait régulièrement dans les sous-sols de son palais ainsi que certains de ses ministres. Il ne leur restait qu'à savoir comment et où ils allaient. Malheureusement, le général n'avait pas réussi à trouver de cartes montrant quelconque chemin allant au palais.

Les galeries parcourues faisaient honneur aux temps anciens où les maçons faisaient les plus beaux ouvrages que l'on ne pouvait voir les arches étaient couvertes aux coins de motifs géométriques. Quiconque s'y promenant avait une sensation d'espace, respirait. A des intervalles réguliers, des petites lanternes bleutées indiquaient le chemin à suivre dans la section. Leurs lueurs étaient faibles mais suffisantes pour souligner les courbes ouvragés des galeries. Les légers mouvements de l'eau rendaient l'atmosphère fantomatique.

Les autres l'ignoraient, c'était qu'Altimas était en chasse de la source de magie, des personnes ayant brisées la barrière afin de permettre l'invasion du royaume et le mettre définitivement à terre pour assurer une victoire totale. Les hommes étaient toujours avides de gloire, de mettre les autres à terre. Il avait appris à utiliser cette faculté un peu par hasard lors d'un contrat de mercenaire. C'était sans nul doute, la faculté qu'il maitrisait le mieux et cela lui avait même sauvé la vie à deux reprises.

- Il faut qu'on prenne cette direction, finit-il par dire quand ils arrivèrent dans une grande salle à l'aube du cinquième jour.

Cette pièce était la plus ancienne qu'ils avaient eu à traverser et était différente des précédentes. De nombreuses pompes de services, d'anciens mécanismes se trouvaient en son centre. Elle parvenait de la première construction, la première cité au moment où cette dernière était un centre d'éducation réputée le monde. Mis à par l'entrée ouvragée de sculptures épurées faites de lignes et de motifs géométriques, faite d'un grès gris bleuté par laquelle ils étaient passés, les cinq autres entrées étaient grossières, des ouvertures naturelles, taillé par l'eau au fur et à mesure du temps.

- Qu'est-ce qui te fait dire cela ? demanda Trigan.

- Je sais, c'est tout.

- Tu as de peut-être grands talents mais laisse-nous faire notre travail. On ne peut pas être sûr, avança Frigan.

- Il semble que certains ne nous aient pas tout dit, ajouta Tikan. Qu'est-ce que tu nous caches d'autres ?

Comme le guerrier qu'il était, il n'avait s'empêcher de mettre une main sur le pommeau de son épée courte. Il n'aimait pas le mensonge ou ce qu'il semblait pour lui être un mensonge.

- Cela nous aurait évité des jours de recherche.

- C'est trop ténu depuis qu'on est entré dans la cité sauf depuis qu'on est ici. Les parois doivent isolées les sous sols du reste.

- Tu la sens depuis qu'on est dans les égouts, n'est-ce pas ? questionna le général Rakinar.

Le jeune soldat se contenta de se secouer la tête à l'affirmative, se doutant que cet aveu n'allait pas améliorer leurs relations. Il ne pouvait pas avouer qu'il n'était pas sûr avec les énergies présentes dans la cité.

Le trône empoisonnéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant