Amour Possessif [BxB] Dis-moi ton nom

[0][6]

Ok.

- - - - - début du chapitre - - - - -
6)Le bus

Tyucho :
| Hey ! Ça va ? Merci pour la toff j'ai eu plein de like !

Je rigola légèrement, je leva les yeux au miroir. Je souriais, pas un sourire forcé, un sourire niais.

Pff je me désespère...

Moi :
| Salut, bien et toi ? De rien...

J'attendis pas la réponse et je finis de me laver puis je me couche bien dans mon lit douillet...

Le sommeil m'emporta dans le pays des cauchemars.

Je me réveilla en sursaut, non trempé de sueur mais, je porta une main à une de mes joues et je découvris que je pleurer. Pourquoi ?

Je jeta un œil vers l'horloge, elle indiquait 04:21, pourquoi si tôt... Je me rallongea, les yeux grands ouverts regardant le plafond. Je n'arrivais pas à me rendormir. J'attrape mon téléphone et regarda mes notifications. Rien de bien intéressant... Je lus la notification de Tyucho, "Bien merchi!". Je ne répondis pas, que pouvais-je bien répondre à ça de toute manière ?

J'essaya tant bien que mal de me rendormir mais sans succès, j'étais belle est bien réveillé...

J'avais finalement pas dormis depuis mon premier réveil. Je me dirigea vers la salle de bain, je me lave et quand je passa devant le miroir, je vue mes cernes. Si on peut encore appeler ça comme ça... D'un geste rapide j'étale l'anti-cerne de ma soeur et finis de me préparer pour le lycée.

Un pull caramel, un jean noir, mon easpack gris sur le dos et c'est partit. J'annonce une journée nulle, mais la joie m'envahit légèrement quand je remarque qu'on est vendredi. Samedi, je ne travaille pas et heureusement.

Je monte dans le bus, je ne m'assoie pas, la flemme à vrai dire.

"-Hey ça va ?"

Je me tourna vers cette personne qui était arrivé derrière moi sans un bruit. Tyucho, comme d'habitude.

"-Normal et toi ?" Répondis-je par gentillesse.

"-Ouaip ; ton poignet vas mieux ?" Me demande-t-il.

"-Oui merci."

Je ne mens pas, mon poignet est... moins rouge et les traces sont moins visibles...

Un arrêt passa, des personnes montèrent et Tyucho dû se coller un peu plus à moi. On était tous serré comme des sardines. J'avais l'impression de plus pouvoir respirer. Comme si j'étais sur le navires négrier lors de la traite négrière et que j'étais un de ses esclaves.

J'étais collé à son épaule, devant lui, une fille blonde, sans être méchant, en surpoids. Tyucho était adossé, et moi il y avait quelqu'un derrière moi. Je me sentais mal à l'aise. J'avais tellement peur que je trébuche, que quelqu'un me pousse et que de toute les manières possible, mon t-shirt se soulève. Et donc mes "cicatrices" soient visibles.

Je sentis quelque chose bouger dans mon dos, cette chose descendais petit à petit jusqu'à mes fesses. Plus elle descendais, plus mes yeux s'ouvrait d'effroi, de peur.