Amour Possessif [BxB] Dis-moi ton nom

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Désolé chapitre non corrigé. Alerte aux fautes ! Je n'ai pas eu le temps d'écrire et de corriger c'est trois derniers jours (compétition le mercredi, mon anniversaire le jeudi et le vendredi planning de cours chargé). Assurez-vous d'avoir lu les chapitres 41 et 42

bonne lecture
- - - - - DÉBUT du CHAPITRE - - - - -
43) Mon crapaud
⛏Sacha⛏

Je marchais rapidement jusqu'au QG, le sourire aux lèvres et les joues rouges de gêne en repensant à ce rêve, qui n'avait pas laissé de marbre mon levier de vitesse...

Autrement dit : j'avais rêvé de Tyucho.

En quatrième vitesse, j'infiltrais le tube rouge, un sourire au visage. C'était fou comme il m'avait changé. Rien qu'en m'apercevant, Tyucho tendit ses bras, réclamant son câlin. Il m'avait attendu recroquevillé en quatre dans si peu d'espace, adorable. 

J'étais toujours gêné, même si j'aimais ce genre de proximité. Timidement, je me blottis dans ses bras, mon dos contre son torse, mes bras sur les siens qui m'entouraient possessivement.

"— Salut, toi." Dit-il avec son air joueur.

"— Salut." Répondis-je simplement.

Je sentis ses lèvres douces et humides embrasser la peau de mon cou, j'en frissonnais. Le rouge au joues, je basculais la tête en arrière. Je ne savais pas si je voulais que ça cesse ou bien qu'il continue. Mais chose sûre : Dieu que c'était agréable. En plus je pouvais enfin me dire qu'il était à moi, que c'était mon petit-ami.

Soudainement, une des portes s'ouvrit en fracas. Nous nous retournâmes à l'unisson, moi paniqué et lui comme si de rien était. Il m'épatait.

Je crue mourir de gêne : une dame semblait énervé, aux sourcils presque invisibles, se tenait là ; elle nous observait, prête à nous réprimander.

"— Jeunes hommes cette air de jeux est réservée aux enfants et non à des ados pour faire mumuse ! Alors sortez et laissez les enfants s'amuser sans vous." Réprimanda-t-elle.

Je voulus sortir, gêné et surtout compatissant pour la petite fille qui nous observait gênée, seulement une main vint m'en empêcher. Tyucho ne semblait pas du même avis que cette dame, au contraire.

Il sourit et lui dit :

"— Madame Sourcils Invisibles, je suis navré de vous annoncer qu'il n'y a aucun panneau fixant des règles comme celle-ci. Alors, bien merci à vous de vous inquiéter pour nous, mais non merci. Chou referme la porte s'te plait."

"— Me manque pas de respect ! Sortez d'ici immédiatement." Répliqua-t-elle au tac au tac.

Alors le détail lui avait aussi sauté aux yeux. Je fis ce qu'il me dit, sans broncher. Son surnom m'avait tout secouer, nous étions en couple ! C'était normal, non ?

Après avoir fermé la porte, mon canard — il lui fallait bien un surnom, non ?— m'attrapa la main pour m'inciter à sortir d'ici.

"— Allez viens, on va pas l'embêter longtemps. Ce genre de truc sont prêts à appeler la police."

Nous sortîmes alors par l'autre sortie en toute discrétion. Nous courions jusqu'à derrière les buissons. Les mains sur les genoux, je l'observais. Il n'était même pas essoufflé, rien. Même que sa respiration n'était pas saccadé. Je manquais cruellement d'endurance.