E is back, bitches

don't fuck with me

Clément : J'ai vraiment passé une bonne soirée avec toi, Elza.

Je souris timidement, m'apprêtant à ouvrir ma portière.

Clément : J'aimerai vraiment.. qu'on se revoit. Si t'es partante évidemment...

Elza : Ça serait cool, oui.

Je lui souris tout en observant ses beaux yeux bleus.

Clément : En plus, maintenant.. je sais où tu habites, donc fait attention à toi.

Je ris timidement.

Clément : Tu me fais pas un bisous avant de partir ?

Il me tendit sa joue, et doucement je m'approchai.
Il tourna sa tête, mes lèvres se collèrent aux siennes.. et avec passion, un baiser s'échangea. Il caressait mon visage, tout en me donnant chaud, me faisant palpiter mon cœur.

Mon côté fille facile reprenait le dessus.

Alors qu'il m'embrassait toujours avec beaucoup de délicatesse, j'attrapai le col de sa chemise avec assurance, le serrant d'avantage contre mon poitrail.

Alors qu'il arrêtait son véhicule, que nous sortions et qu'il embrassait mon cou, doucement je demandai :

Elza : Tu sais, que.. c'est.. pas.. une.. place de par..king.

Clément :(me portant par les fesses) Je m'en fiche, qui va me mettre une amende ? Personne, c'est moi le flic.

Je ris alors qu'il me plaquait contre l'ascenseur, m'embrassant de toutes ses forces. Les portes s'ouvrirent, et rapidement, j'appuyai sur le bouton 3. Je commençai à déboutonner sa chemise, alors que ses mains baladeuses jaillissaient le long de mon fessiers, tout en remontant au niveau de ma poitrine.

Elza : J'ai tellement envie de toi.

Il mit son doigt sur ma bouche, alors que doucement, il embrassait mon poitrail, gardant mon body le long de mon corps.

Je me sentais si petite dans son corps, m'enveloppant, me couvrant.

Il me reposa à terre, attrapant mes mains.
Pendant que j'ouvrai la porte d'entrée, ses mains caressaient mes hanches, sa langue léchait doucement mon cou.

Il me rendait tellement dingue.

Alors que la porte s'ouvrit, il m'attrapa comme un sac à patate, ce qui me fit extrêmement rire.

Nous nous rendions dans ma chambre après lui avoir indiqué laquelle c'était.

Doucement, il me posa contre le lit, mais je comptais dominer.

Je me relevai, le poussant moi, contre mon matelas.
Délicatement, j'enlevai mes talons ainsi que ma jupe.
Mon body était le seul tissu qui habillait encore mon corps.

Il m'observait de ses grands yeux, et souvent il réagissait en se mordant les lèvres ou en frissonnant.

Soudainement, je commençai à enlever mon body, ma poitrine nue, face à un Clément épaté et impatient.

Alors qu'il comptait se redresser pour attraper mes hanches et me pousser sur le lit, je le repoussai.
Je comptai finir en beauté pour lui faire perdre tous ses moyens.

Le bas fut retirer à son tour. Clément déglutit, tout en jubilant. Mon sourire s'intensifiait, alors que je voyais, qu'à travers son pantalon, elle se réveillait.

Cette nuit là, je fis l'amour avec ce flic comme jamais. De 22h30 jusqu'à 5h du mat, il m'avait donné tout le plaisir nécessaire pour me faire sentir à nouveau femme.