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alors il restait planté la, l'amarante
ne tenant pas debout, trop fané pour éclore encore
il gardait cette mine grisée que lui donnait la lumière du couloir
avec son cœur arraché à la terre,
arraché jusqu'au racines
un cœur qu'on aura du mal à replanter.

et il sait même pas pourquoi il est comme ça.
parce que c'est venu d'un coup, la tristesse
sur sa tête comme une averse
il l'a pas sentie arrivée et ça l'a submergé comme jamais
elle a dévalé sur ses joues plus si colorées qu'au printemps
et l'autre qui le fixait autrefois lui avait dis tout bas
"pleure pas, pleure pas"
c'était la première fois.

chagriné

aussi peiné soit l'ange
aussi forte soit la pluie
ne laisse plus couler la nuit
dans le reflets des louanges

jamais ne me laisse
dans la trop grande existence

(les lueurs de la vie
effacées de l'épris ,
mes sentiments étranges
envol aux mésanges )

poetikherz Où les histoires vivent. Découvrez maintenant