Recueil de mes OC

Heinrich Klaus Gunter (Rp tournoi, sur discord)

Encore une fois, ce rp là fait se rencontrer des personnages d'univers différents. Ils reçoivent tous une invitation à un tournoi inter-dimensionnel et le signe, les transportant dans un tout autre endroit.

Nom: Il n'en a jamais eu alors il en a choisit un à la place: Gunter.

Prénom: Heinrich, de son deuxième prénom Klaus.

Surnom: Il porte le surnom Iridium quand il est en mission, mais les personnes encore en vie après l'avoir croisées se sont chargées de lui en donner bon nombres d'autres, comme la mort souriante, ou encore le monstre du Reich. Malheureusement le "hasard" a fait que toutes ces personnes ont connu un tragique destin peu de temps après.

Âge: Son âge est inconnu, il pourrait très bien avoir 20 ans comme 150, personne ne le sait. Mais au vue de ses connaissances avancées dans beaucoup de domaines, il doit avoir un certain âge.

Monde/Univers (inventé): W-9999, un monde où l'allemagne a gagné la seconde guerre mondiale.

Histoire: Le 16 avril 1945, Berlin était cerné de tous les côtés, la défaite allemande était proche tandis que les chars russes entraient dans la ville assiégée. Les derniers soldats SS de la ville couraient en tous sens pour fuir l'armée rouge, tout le monde croyait en la victoire alliée, mais personne ne crut à ce qu'il se passa dans les heures suivantes, ni même dans les jours suivant. Une bombe d'une puissance colossale explosa en plein coeur de la capitale, libérant des radiations cancérigènes dans toute la ville, puis des dizaines de milliers de soldats germaniques en hazmat sortirent des entrailles de la terre par des bunkers pour reprendre la ville. Les forces alliées ne purent résister sous les assauts de l'axe, étant presque totalement anéanties par l'explosion de la bombe nucléaire. En une nuit, l'armée allemande repris du terrain si vite que les autres armées n'eurent le temps de réagir comme il l'aurait fallu, et plus ils prenaient du terrain, plus des hommes vêtus de la même façon les rejoignaient en sortant d'autres bunkers cachés parmis les montagnes. En seulement un mois, ils avaient repris tout le territoire germanique ainsi que la Belgique, mais leur avancée ne cessait de croître, sapprochant dangereusement de la France et du Luxembourg actuel. Les forces françaises ripostèrent du mieux qu'ils purent, mais les tirs d'obus et l'armée colossale leur faisant face les écrasèrent sans qu'ils ne purent faire de trou dans leur défense. Au bout de décembre 1945, l'Europe dans son entièreté fut conquise, mais les forces de l'axe ne sarrêtèrent point en si bon chemin. En Asie, les soldats nippons avaient envahi la moitié de la Chine,et s'enfonçaient toujours plus dans dans le continent. Le 25 octobre 1948, l'Eurasie n'était plus que sous une bannière, celle rouge du sang juif versé. Adolf Hitler décéda des suites d'une maladie infectieuse le 4 janvier 1949, mais les dernières nations n'eurent en aucun cas le temps de souffler, car très vite, un successeur prit sa place, qui n'était autre que Joseph Goebbels, chancelier du Troisième Reich et proche de son prédécesseur. Les pays encore libre capitulèrent dans entre les années 50 et 53, unifiant le monde entier sous le drapeau du reich millénaire. La Terre étant beaucoup trop grande pour être menée efficacement par une unique personne, le reich se scinda en 5 empires, tous dirigé par un partisan du régime nazi. Chacun d'eux avait un objectif précis: produire la nourriture pour le monde entier dans le cas de l'Eurasie, former les forces de l'ordre pour l'Amérique du Nord, etc... Une chasse aux sorcières visant les minorités qu'Hitler voulait anéantir ainsi que les résistants fut organisé par la Gestapo dans tous les empires, emmenant ceux considéré comme des sous-hommes dans des camps de concentrations. Les morts ne cessaient de croître tandis que le nazisme était inculqué aux enfants comme bénéfique, et très peu n'y adhéré point tant la propagande était intensive. En 1970, Goebbels décéda à son tour, assassiné par un révolutionnaire. Mais cette acte fut une erreur des plus graves, car les étaux se resserrèrent autour des résistants encore en vie, les traques se firent encore plus nombreuses, et seules quelques centaines d'hommes et femmes révolutionnaires y survécurent. Des dizaines d'années sécoulaient tandis que les résistants se faisaient petits pour survivre, en tentant de raisonner les enfants qui n'avaient pas encore subi un lavage totale de cerveau. La tâche était laborieuse, mais ils eurent retrouvé un nombre de résistant raisonnable vers les années 2000, mais pas encore assez pour tenter des coups d'Etat, étant donné que les policiers et forces armées du Reich étaient soudé. Depuis les années 1990, des personnes aux capacités surhumaines faisaient leur apparition aux alentours des villes exposées aux radiations dû aux nombreuses bombes nucléaires utilisées, mais la presse étant contrôlé, leur existence ne fut apprise que le 8 juillet 2004 par le grand public. Dans un premier temps, les mutants furent discrètement assassinés par les hommes de la Gestapo, mais à la fin des années 1990, les 5 dictateurs se réunirent pour prendre une décision qui, sur le papier, paraissait parfaite: créer une unité composé de ces surhommes inconnu du peuple, qui se chargera des missions que de simples humains ne pourrait accomplir, où que leurs dons permettraient de faire plus rapidement. C'est en l'an 2045 que fut découvert un homme aux cheveux d'un blanc immaculés sur les terres de l'ancienne allemagne. Le terme découvert ne fut pas employé pour rien dans les documents officiels, car personne ne savait d'où il venait, son nom où même son âge. Le premier ordre qui fut donné à la Gestapo fut de le torturer jusquà ce qu'il parle, mais le résultat attendu n'était pas celui qui eut lieu. Après des journées de souffrances interminables dû à des coups de fouets, de fer chauffé à blanc et de coupures, il gardait un sourire imperturbable, ce qui tout d'abord rendit fou de rage ses tortionnaires, mais qui après des heures leur fit de plus en plus peur. Recevant par écrit les rapports de ces longues journées, un officier de la Gestapo leva un sourcil devant la paperasse: Comment un humain pouvait sourire en recevant un coup de couteau en pleine poitrine ? Et pire encore, comment cette plaie pouvait disparaître le jour d'après ? Tout en en parlant à ses supérieurs, ils se rendirent vite compte d'une possibilité assez perturbante: et s'il était tout simplement un de ces rares mutants ? C'est alors que le meneur du groupe secret fut informé, et sa première action fut de libérer son emploi du temps pour aller voir ce fameux surhomme. Quand le chef entra dans la pièce, Heinrich était enchaîné par les poignets et les chevilles, la tête basse, mais il la releva en ayant ce fameux sourire qu'avait décrit les soldats dans leur rapport. Ne se démontant pas, le chef des troupes sapprocha de lui et lui posa les mêmes question que lui posèrent ses hommes avant lui: qui es-tu ? Doù viens-tu ?... La seule réponse quil reçut fut un sourire toujours plus grand, dévoilant ses dents dun blanc éclatant. Fou de rage, le tortionnaire s'apprêtait à causer une énième brûlure sur le corps du supplicié, mais avant même quil ne le fasse, le tortionné brisa les chaînes le retenant et s'étira de tout son long devant les regards médusés des personnes se trouvant dans la pièce. Klaus fut amené en vitesse dans un des camps d'entraînement pour le groupe de surhomme inconnu de tous: l'unité 115. Là-bas il passa de nombreux tests, autant écrits que physique et mentaux, et au vue de ses capacités hors normes, il intégra l'escouade en essuyant aucun refus de la part de ses supérieurs. Très vite, il grimpa les échelons de la hiérarchie grâce à ses dons particulièrement puissant à l'échelle de son monde, et arriva au bout d'une unique année au grade de chef de brigade. Mais tout aussi vite quil l'est devenu, il a perdu son grade pour des raisons qu'il jugeait dérisoire: envoyer ses hommes au casse-pipe, est-ce si grave que ça ? Suite à ces événements, il n'eut qu'un grade honorifique, à savoir celui de maréchal, au bout de 5 ans de services (obligatoire bien entendu). Accomplissant assassinats de résistants, meurtres de masse et destruction de bâtisses pendant dix longues années, Heinrich commençait sérieusement à en avoir assez: non pas que le fait d'anéantir ceux qu'il jugeait avoir raison le dégoutait, mais que son travail devenait répétitif et ennuyeux. Alors il partit sans un mot de l'unité malgré l'interdiction de le faire, et rejoignit le quartier général des résistants dont il avait trouvé la position il y a quelques jours et sur lequel il devait mener l'assaut le lendemain. Il prévint le groupe souhaitant soulever le régime actuel de la futur attaque avec son sourire habituel, mais peu l'écoutèrent au vu de son ancienne place dans l'unitée 115, ce qu'il comprenait parfaitement mais qui causa la perte de nombreux hommes le jour suivant. Après le carnage dû à l'escouade dont faisait parti Heinrich, la résistance accepta de le laisser entrer dans ses rangs mais non sans être sous surveillance 24 heures sur 24. Il accomplit quelques missions avec brio sous les ordres des chiens fou (nom donné aux résistants par le régime nazi), et remarquant son talent, le chef des révolutionnaires demanda à le voir. Une fois dans son bureau, il fut intrigué par l'être se tenant devant lui: souriant et extravagant, autrement dit bien loin du profil de tueur de ce qu'il avait pu entendre. Pendant cet entretien que Klaus trouvait barbant, des taupes de l'unité 115 et de la Gestapo débarquèrent de tous les côtés, encerclant la zone. Ils étaient trop nombreux, beaucoup trop même pour lui, mais la fuite étant impossible, il dû participer à la bataille. Le traître s'apprêtait à attaquer les lignes ennemies, mais une personne inattendu s'avança et parla d'une voix forte: l'unique ami d'Heinrich lui demandait de revenir dans l'escouade et participer au meurtre de la résistance, dit que son refus serait considéré comme une haute trahison, mais qu'une réponse positive laverait son honneur et lui rendrait son titre de maréchal . Vous vous attendiez à ce qu'il hurle non ? Que vous êtes naïf. Il sourit de nouveau et se mit marcher d'un pas triomphal vers son ancien compagnon d'arme, avant de prononcer une phrase qui fit l'effet dun boulet de canon sur ceux qu'il aller tuer: Avec plaisir très cher ! Mais avant même qu'il n'atteigne les troupes de l'axe, son compagnon lui tira une balle explosive dans la rate. Le regard qu'il lui a lancé à ce moment-là, Heinrich s'en souviendra toute sa vie. Il lui sourit comme lui le faisait si souvent, et prononça ces mots: "Naïf que tu es tu y as cru ? Iridium, ces sous-hommes tont rendu stupide et faiblen Tu étais depuis le début suivit à la trace." C'est à ce moment que l'invitation au tournoi apparu dans ses mains, en même temps que les combats se déclenchèrent autour de lui. Il s'affairait de s'enfuir en titubant en direction de la forêt la plus proche tout en lisant la lettre étrange dans ses mains quand il reçut une autre balle de son ancien ami dans la cuisse, ce qui le fit chuter en étouffant un cri de douleur. Il signa en vitesse le bout de papier avec son propre sang juste avant que le membre de l'unité n'arrive à sa hauteur pour l'achever, et disparu on ne sait où.