Sebastian Jones Tome 1: Tout! Pour Sebastian! "TERMINE"

Amour, magie et jalousie.

Je suis dos à lui, dans ses bras. Un nouveau baiser vient rencontrer la base de ma mâchoire, et se déplace vers le lobe de mon oreille. Mes mains caressent ses cuisses, je laisse s'échapper un soupir de désir. Je sens ses mains puissantes se placer à la naissance de mes seins. Puis d'un geste rapide, il ouvre la glissière de ma veste pour la faire glisser au sol. Ses mains reprennent leur place, et tiennent mes seins en coupe. Il allume un brasier en moi. Je me tourne vers lui et fond sur sa bouche. D'un même mouvement je me hisse sur ses cuisses, et me place à califourchon sur lui. Baignés de désir l'un pour l'autre, nos bouches se font plus avides et le baiser plus profond. Sa langue cherche la mienne, la cajole. Je le goûte goulument. Je sens le désir prendre possession de mon sexe qui se contracte à chacun de ses gestes. Un afflux humide baigne mon intimité. Jamais je n'ai désiré autant un homme. Ses mains baladeuses me caressent et me serrent fort contre lui. Il plaque mon bassin tout contre le sien. Je sens sa virilité dressée entre nous. J'ouvre à mon tour son blouson afin de ressentir davantage la chaleur de son corps, et me sentir plus proche de lui. Je glisse mes mains sous son t-shirt pour rencontrer le velouté de sa peau.

SEBASTIAN : « Dis le moi ! Dis le moi ! »

ELLEN : « Tu me plais Sebastian, tu me plais plus que de raison. »

Je passe mes doigts dans son épaisse tignasse. Notre baiser est interminable. Le désir devient brulant. Je gémis sous ses caresses, je l'appelle du plus profond de mon être. Il me répond en écho. Je vois toute la fièvre de son désir dans ses prunelles rétractées. Je sens tout son corps se contracter.

SEBASTIAN : « Je te veux Ellen, je te veux ! »

Sebastian ôte mon haut, et fond sur ma gorge qu'il couvre de sa bouche. Puis il vient goulument laper mes tétons, qu'il titille de sa langue, puis les suce doucement augmentant encore davantage mon excitation. Je gémis, ce mec me rend dingue ! Puis il me hisse dans ses bras, emprisonnant mes cuisses dans ses mains puissantes. Les allées et venues de son bassin contre le mien imitent l'acte. A travers nos vêtements, je sens son pénis ferme venir buter contre mon entre jambe offerte. Il râle contre mon cou et entreprend de nouveaux baisers enfiévrés. Je perds pied, je me sens tomber dans un gouffre de désir intense. Mon clitoris est gonflé, je me sens humide et prête pour l'accueillir. N'en pouvant plus, je m'attaque à la ceinture de son pantalon. Ma main s'enhardit et vient toucher l'objet de mon désir. Sébastian se défait de son jean qu'il laisse tomber au sol. J'hésite soudainement devant ce boxer bombé, ses yeux lourds de désir m'encouragent. D'un geste, je lui ôte le dernier vêtement qu'il porte. Son sexe turgescent se dresse devant moi, je le happe avidement de ma bouche. Je le suce impitoyablement, je sens le plaisir de Sebastian monter davantage. Ses mains plongent dans ma chevelure et accompagnent ma sensuelle exploration. Il se tend, il râle. Puis me rejette violemment en arrière

SEBASTIAN : « A ton tour ! »

Il s'empresse de m'ôter mes derniers vêtements et viens coller son corps contre le mien. Je défaille. Ses mains se font conquérantes et viennent doucement s'insinuer dans mon intimité. Je me tends et gémis contre lui. Il se redresse : « tu es déjà toute humide ?! »

Je me réveille en sursaut. Je suis dans ma chambre chez les Bartholy. Je regarde mon réveil, il est 2h du matin. Je suis bouillante et tellement déçue ! Bon sang c'est pas humain des rêves aussi torrides ! Je tente de me rendormir en vain. Pourtant j'aimerais bien terminer ce rêve !

Je finis par me lever, je me dirige vers la fenêtre et aperçois la pleine lune se dessiner dans le ciel. Une ballade à la fraicheur de la nuit me fera le plus grand bien. Je décide d'aller dans la forêt. Je marche à grandes enjambées. Je retrouve le petit coin charmant de la dernière fois et me love contre un arbre. Je repense à cette journée de folie. D'abord Léo qui se déclare et puis ensuite Sebastian ! L'un est mon ancien prof et l'autre m'annonce qu'il est mon nouveau prof ! Il y a de quoi perdre la tête. Entre les deux hommes mon cœur balance. Je pousse un soupir et me prend la tête entre les mains. Quand je relève la tête, le loup est là, il me regarde intensément. D'un coup, il se raidit, et retrousse ses babines, il se montre menaçant. Bon sang, qu'est ce qui lui arrive ? Il a toujours été paisible avec moi auparavant. Je ne comprends pas son comportement. Soudain, je sens une présence en retrait. Je regarde à la dérobée, tout en restant sur mes gardes. Là, je vois Drogo, menaçant, lèvres retroussées qui fixe intensément le loup.