Amoureuse en un mois.

I.

Je suis la duchesse Elisabeth, mon nom au complet est Elisabeth Marié Astrid Louise Gotta.  Mon père est le frère du roi Henri ce qui explique mon titre. Ma mère est morte en mettant au monde mon petit frère, Arthur.  Depuis sa mort, mon père n'a pas voulu se remarier. Il n'est jamais présent et je pense que mon petit frère en souffre. C'est pourquoi je lui rends visite.

- Bonjour, petit monstre !
Même si il a 10 ans, j'aime l'appeler comme ça.
- Elisa, je n'aime pas quand tu m'appelle « petit monstre »! Je ne suis plus un gamin.
- Pour moi, tu seras toujours mon petit monstre. Lui dis-je en embrassant son front.
Il lève les yeux au ciel ce qui me vaut un petit rire.
- Tu ne dois pas étudier ? Me questionne t-il.
- Je connais déjà. Et toi, que fais-tu donc ?
- Je dois préparer des exercices de mathématiques, tu veux pas les faire avec moi ?
- Je le ferai un jour de t'aider petit frère.
Je m'assoie à ses côtés et pendant deux heures, nous travaillions. Nous sommes interrompus par Mr.Quiet. Je le connais depuis toujours, il est comme le majordome de la propriété.
-Duchesse, votre père souhaite vous voir dans son bureau. Tout de suite.  Je me lève et le suit.

Quiet m'ouvre la porte et j'entre en faisant la révérence.
- Bonjour père, vous souhaitiez me voir ?
- Oui ma fille. Dit-il en levant la tête d'un lettre.
Il se lève, pose sa main sur ma taille pour m'inviter à m'assoir sur l'une des chaises en face de son grand bureau.
- Et bien, ma fille, j'ai une grande nouvelle pour toi. Il se trouve que mon neveu, le Prince Andrew est âgée de 21 ans et qu'il est toujours célibataire. Mon frère, le roi Henri, organise un bal afin de faire la rencontre de 5 filles. Tu dois être choisie!
Mon cœur rate un battement.
- Le bal aura lieu dans une semaine. Fait tes adieux à ton frère parce que si tu es choisie, tu resteras au palais pendant un mois.

Un mois.

- Mais père, un mois, c'est trop long. Comment voulez-vous que Arthur ne se sente pas seul, ici ? Dis-je en me levant.

- Je resterai avec lui. Et puis Elisabeth, tu ne seras pas toujours coller à ton frère. Vous devez apprendre à vivre l'un dans l'autre.

Il rejoint son bureau et le fait signe de partir.
Je cours jusqu'à ma chambre et demande à l'une de mes servantes d'aller me chercher Thomas.

Quelques minutes plus tard, il arrive en tenue de cuisinier. Je fonce dans ses bras à secondes où il passe la porte. Les larmes coulent sur mon visage, je n'arrive pas à l'arrêter.
- Eli, calme-toi et dis-moi ce qu'il se passe.
Je finie par me calmer. Nous nous installons sur le bord de mon lit. Je demande à mes servantes de partir.
- Alors explique moi la raison pour laquelle tu es dans cette état.
- Thomas,...comment te le dire?!
- Commence par le commencement alors. Dit-il en posant sa main sur mon épaule pour le rassurer.
- Et bien, mon père m'a demandé d'aller dans son bureau. J'y suis aller. Et père m'a dit que son neveu devait se marier......et je suis l'une des prétendantes. Enfin pas exactement, je dois être choisir d'abord et ensuite je logerai peut-être un mois au palais royale.

Il retire sa main de son épaule ce qui le fait très peur. Il s'est levé et a été près de la grande fenêtre.
- Thomas, parle moi, s'il te plaît.
- Que veux-tu que je te dise! Nous savions que nous allions pas finir ensemble.
- Comment tu peux dire ça ? Tu sais très bien que je ne veux pas te quitter. Tu sais que je t'aime mais en voyant ta réaction, je pense être la seule à avoir des sentiments.
- Elisabeth, tu te trompes, tu sais très bien que je t'aime mais que veux-tu que je fasses. Il est le futur roi et moi je ne suis qu'un homme qui passe sa vie en cuisine.
- Tu n'es pas qu'un homme Thomas, tu es l'homme, le seule que j'aime avec mon frère et mon père bien sûr. Mais jamais je n'aimerai quelqu'un d'autres que toi.
- Tu dis ça maintenant Eli. Mais qui te dis que le prince Andrew n'est pas encore plus beau que moi ?
- Parce que déjà quand il était petit je le trouvais moche. Dis-je en rigolant.
- Il a peut-être grandi depuis. Dit-il posant ses mains sur ma taille.
- C'est une possibilité marlis tant d'autres.
Il rigole et pose délicatement ses lèvres sur les miennes.

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Je m'excuse à l'avance si vous voyez des fautes d'orthographe. N'hésitez pas à me le signaler.
Bisouu.