II.

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Une semaine s'était écroulée à présent.
Je voulais porté une robe plus discrète mais mon père avec déjà choisi la robe. Mes servantes que je considérai plus comme des dames de compagnie ou même des amies m'aidaient à me préparer. Elles m'on d'abord fait prendre un grand bain, m'ont fait une manucure. Elles sont ensuite passées à la coiffure et au maquillage. Elles m'ont fait un chignon bas avec des mèches qui retombent sur les côtés. Elles ont recouvert mes lèvres de rouge à lèvres rouge et mis un peu de mascara. J'avais l'impression de ressembler à un clown, il ne manquait plus que le costume.
En voyant la grosse robe, je n'ai pas pu retenir mon étonnement. Elle était rouge et énorme, les épaules étaient dénudées, une vrai robe de princesse.

 Elle était rouge et énorme, les épaules étaient dénudées, une vrai robe de princesse

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Mon père et mon frère m'attendaient en bas des escaliers. Arthur avait des étoiles dans les yeux. Je voyais bien que mon père était légèrement ému derrière son air sérieux.
Je descends en portant ma robe pour ne pas tomber.
- Ma fille, nous te voyons demain soir. Je dois parler avec le roi Henri.
- Arthur vient également, père ?
- Oui, je ne vais pas le laisser seul.
Je me retourne vers mon frère et le prends dans mes bras.
- Tu es magnifique grande sœur. Chuchote-Il.
Je les regarde une dernière fois en enfilant ma fourrure blanche.
Une de mes servantes, Émilie m'accompagne. Elle était tellement heureuse quand je lui ai demandé.
- Duchesse, nous devons y aller maintenant.
Nous sommes sorties et montées dans la belle voiture.

Nous arrivons deux heures plus tard. Émilie fait deux, trois retouches à mon maquillage. On vient m'ouvrir la portière. Les photographes prennent quelques photos et je me dirige vers la grande porte du palais.
J'ai eu le droit à des regards noirs des autres filles dans la salle mais je n'y fais pas attention.

Par ennuie, je finis par me promener dans le château. J'ai finie par le retrouver dans une immense bibliothèque. Elle faisait la taille de ma chambre. Je pose mon verre sur une table et prends le premier livre que je vois.
- Que faites-vous ici? Dit une voix derrière moi.
Par peur je repose le livre et me retourne.
Un grand jeune homme vêtu d'un smoking noir se tenait devant moi. Il avait les cheveux courts noirs et des yeux bleus perçants.
- Oh...excusez moi Monsieur. Je me promenais et je me suis retrouvé dans cette magnifique bibliothèque.
- Vous ne devriez pas être dans la salle de balle ?
- Si, je le devrais mais ne voyant pas le prince Andrew arrivé, je suis partie me promener.
- Vous devriez y retourner, je pense que le prince ne va pas tarder plus longtemps.
Je sourie et me dirige la porte.
- Juste une question, qui êtes-vous ?
Je me retourne pour lui faire face.
- Promettez moi de ne pas me faire de révérence et de ne le dire à personne!
- Je vous le promets.
- Je suis la duchesse Elisabeth, la nièce du roi Henri.
Je pars dans le couloir pour rejoindre la salle de bal.

Je parlais avec une cousine éloignée quand un homme annonça l'arrivée de la famille tant attendue.
Le roi portait un smoking couvert un cap rouge et sa couronne sur la tête. La reine portait une magnifique robe couleur champagne qui lui allait à la perfection. Le Prince Charles se tenait juste à côté de sa mère. Il était très mignon dans son petit smoking. Puis se trouvait l'homme de la bibliothèque. Après réflexion faite, je comprends qu'il s'agit du prince Andrew.
Je me sentais honteuse et encore plus quand son regard se reste bloqué sur moi.
Le roi Henri fait son discours et puis va s'assoir avec sa famille sur le trône.
L'homme qui avait prononcé l'arrivée de la famille royale annonça l'ouverture du bal.
Le Prince devait choisir une cavalière vu qu'il s'agissait de son bal.
Il se lève, descends les marches et se dirige vers moi. Je n'en revenais pas quand il m'ait tendue la main. Je pose ma main dans la sienne, elle était douce.
Nous nous avançons jusqu'au centre de la pièce, nous faisons la révérence et il pose sa main sur ma taille et l'autre le tien l'autre main.
- Vous êtes l'homme de la bibliothèque, n'est ce pas ?
- Oui, c'est moi duchesse Elisabeth. Chuchote-Il avant de me faire tourner.
- Pourquoi ne pas me l'avoir dit à l'instant où vous avez vu que je n'ai pas la révérence ?
- M'auriez-vous regardé de la même manière ?
Je ne réponds rien. Il n'avait pas tord. Je n'aurai pas traîné.
- Je pense avoir eu ma réponse.
Il me fait tourné pour la seconde fois et ressert son étreinte.
- Si vous me le permettez duchesse, vous êtes la plus belle dans cette salle.
- Oh je vous en prie, vous n'avez pas besoin de me flatter. Si cela ne tenait que à moi je ne serai pas ici.
Il semblait surpris.
- Et où seriez-vous alors ?
- Probablement dans mon jardin avec mon petit co...frère.
- Vous alliez dire copain.
- Vous vous trompez votre majesté.
Il met ses deux mains sur ma taille et me soulève. Nous nous sommes regardés dans les yeux. Ils étaient tellement beaux que j'oubliais tout le reste. Il fini par me poser par terre pour nous faire la révérence l'un envers l'autre.

Amoureuse en un mois.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant