Amoureuse en un mois.

IX.

Cela fait 4 jours que je n'ai pas vu Thomas. Le Prince Andrew me regarde même plus ce qui me fait rire. Je trouve du réconfort au près de Sofia et Rachel. La reine nous fait faire des activités. Nous avons même été à l'une de ses associations, c'était vraiment très sympathique et intéressant à la fois. J'ai pu rencontrer des personnes dans le besoin.

- Majesté, puis-je vous parler un court instant ?demande-je.
- Oui, je vous écoute duchesse.
- Et bien, voyez vous quand nous avons fait la rencontre d'une famille dans le besoin, j'ai été très touché par le parcours et une idée m'est venu.
- Poursuivez.
- Pourquoi ne pas inviter une famille à le fêter avec nous ?
- C'est une idée mais vous oubliez qu'ils devront porter des tenues appropriées.
- Oui mais nous pourrions offrir à une famille une journée inoubliable à vos côtés. Et le peuple arrêtera de vous voir comme des personnes avares. Ils cesseront de croire que les gens qui on les moyens, restent qu'avec des gens de leur rang. Vous voyez ce que je veux dire, majesté ?
- Oui, je dois bien avouer que vous eu une bonne idée. Je vais en parler à votre oncle. Vous pouvez préparer un mini exposé dans la bibliothèque, elle est...
- Oh merci votre majesté, je sais où elle se situe. Dis-je en faisant une révérence.
Je vois les filles me regarder sortir, et Rachel me sourissent et je lui sors mon plus beau sourire.

En prends, les escaliers pour aller jusqu'à la porte de ma bibliothèque mais je m'arrête en voyant Sofia embrasser un grand jeune homme. Ils s'arrêtent et se retournent vers moi. Thomas. Thomas est l'homme dont Sofia n'arrête pas de parler. Je voulais courir vers lui et le giflée mais je me suis retenue et suis partie dans la bibliothèque. Je pouvais sentir les larmes coulées mais je n'en avais que faire.
J'entendais des bruits dans le jardin. En allant voir de plus près, le Prince Charles était là en train de jouer. Ce qu'il pouvait le faire penser à mon petit frère. Il me manque énormément, je ne peux plus me balader avec lui, regarder les étoiles, rigoler, manger en cachette,...et beaucoup d'autres choses encore.
Pour me calmer, je m'installe sur le piano. J'avais pour habitude de me calmer en jouant.
Je me souviens quand j'étais trop enthousiaste, maman jouait avec moi, nous faisions un quarté mains. Qu'est-ce que j'adorais ça, et voir papa sourire. Depuis qu'elle est morte, il ne sourit pratiquement plus. Il n'est jamais avec nous.
Je sens une main se poser sur mon épaule.
- Si vous continuez comme cela Elisabeth, je vais devoir acheter un nouveau piano avant la fin du mois.
Je reprends vite mes esprits et je vais près de la fenêtre pour sécher mes larmes.
- Pourquoi pleurez-vous ?
- Je ne pleure pas Votre majesté.
- Elisabeth, arrêtez une fois pour toute de me mentir! Vous mangez pas, voue avez du perdre du poids, vous ne souriez plus,  vous êtes toujours dans vos pensées, vous évitez mes regards, vous m'évitez, vous restez simplement avec vos amies.
- Vous voulez la vérité, et bien d'accord! J'en ai assez de toute cette comédie. Je ne mange pas  parce que regarder toutes les filles que vous avez, elles sont toutes aussi mince que des baguettes. Je ne sourie pas pourquoi à votre avis ?! Bien sûr, vous ne pouvez pas comprendre, c'est pas vous qui aviez été séparé de votre petit frère, c'est pas vous qui êtes ici sans famille. C'est pas vous qui avez perdu votre mère. C'est pas qui avez appris que la personne qui vous a embrassé, qui vous a fait ressentir une émotion incroyable a été dormir avec la comtesse Charlotte. C'est pas vous qui venez de voir la personne qui soit disant vous aime embrasser une autre et vous regarder comme si de rien n'était. Crie-Je en pleurant.
Waww, je me sens vide. Cela fait tellement bizarre.
Andrew s'avance vers moi, il me sert dans ses bras musclés.  Je suis étonnée de son geste, je pensais qu'il allait crier et partir.
- Je ne pensais pas que vous aviez tout cela en tête. Venez, je vais vous amener à votre chambre.
Il pose une main dans mon dos et soulève mes jambes. J'enroule mes bras autour de son cou et pose ma tête.