Ils ne se connaissent pas eux-même, mais ils sont prêts à vous faire un diagnostic gratuit de votre personnalité étrange à leurs yeux. Ils vont rire de votre personnalité, de vos vêtements, de votre manière de parler. Vous êtes unique. Vous êtes différent. Vous êtes Vous, contrairement à eux. Vous souffrez. Vous laissez tomber le masque de faux-semblants. Vous vous écroulez. Vous avez besoin de l'approbation de ces lâches. Vous avez besoin de leurs sourires. Aimez-moi!
ASSEZ!!
Alors que vous avez le doigt sur la gâchette, que vous poussez la chaise qui vous protège de la corde autour de votre cou. Alors que vous appuyez le couteau sur votre avant-bras, que vous vous apprêtez à sauter devant le métro. C'est à ce moment-là que vous le réaliser. Les faibles attaquent les plus forts en groupe. Leur insécurité se cache derrière le sourire satisfait, leur assurance feinte qui ne tient qu'à un peu de scotch tape. Vous, détruit par ces feuilles de papier qui peinent à tenir debout. Vous, le vent destructeur du Nord, arrêté par ces lâches. Vous souriez tristement. Vous ravalez votre douleur, vos larmes. Vous les faites tomber par terre en faisant une chose simple pour vous, mais impossible pour eux. Vous êtes vous-même, vous restez fort et vous faites ce que vous aimez. Vous devenez sourd à leurs bourdonnements d'insectes et vous les écrasez. Vous êtes fort. Plus fort que tout ceux qui ont essayés de vous détruire, parce que vous n'avez pas pressé la gâchette, que vous n'avez pas pousser la chaise en dessous de vous. Vous n'avez pas pressé sur le couteau et vous n'avez pas sautez devant le métro. Vous êtes restez debout devant la peur qui ne demandait qu'à vous faire tomber et vous avez survécu.
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Les points de vue d'une philosophe...
Духовная литератураCette histoire n'en n'est pas vraiment une, c'est un accès à mes pensées. Elle vous permettra, à travers les images, de comprendre ou non mes points de vue. Ici et maintenant, j'ai pris la décision de vous ouvrir mon cœur sur ce que je pense réelle...
