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Un peu plus tard, l'infirmière et notre mentor nous laisse tous les trois auprès de Georg, sans nous en rendre compte, nous nous sommes endormis autour du lit de Georg.

Un gémissement plaintif nous réveille plus tard, Georg bouge sans avoir ouvert es yeux.

- Non, gémit-il doucement. Non, non, non, non...

Je me penche sur lui et lui caresse les cheveux délicatement, lui déposant un baiser sur le front.

- Georg ? Tu m'entends ? demande, incertaine.
- Susanne ? Pourquoi je ne suis pas mort ? me répond t-il, en ouvrant les yeux et ragardant autour de lui.

La question du sauveur surprend tout le monde, j'enlève ma main de sa tête et murmura :

- Je t'ai empêché de sauter.
- A force de traîner avec nous, tu finis par te confondre avec nous : tu te mêles de ce qui ne te regarde absolument pas, Susanne.
- D'après la lettre que tu as écrit, je crois que je suis tout de même en droit de me mêler de ça.

Georg se redresse dans son lit et une énorme douleur le rappelle à l'ordre.

L'infirmière lui donne un médicament qui calme tout de suite sa douleur et lui ordonne de se rasseoir, mais, il n'écoute pas et regarde fixement les lettres qui sont posé sur le lit.

« Le sauveur »Where stories live. Discover now