pardonne moi

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                Salut à tous, je tenais tout d'abord à m'excuser pour le retard de ce chapitre. J'ai vu à travers vos commentaires à quel point vous étiez impatient alors j'ai fait au plus vite.

                  Je suis tellement contente que mon livre plaise à autant de personne si vous saviez. Je suis ravie 🙌. J'aimerais vous solliciter mes chères lecteurs( trices ), vous m'avez donner assez de courage pour que je me lance dans un concours appelé "chantilly Awards". J'espère pouvoir compter sur vos votes et encouragements.

                   Merci d'avoir pris la peine de lire ce message. Au revoir et à la prochaine. 😘😝

                       - Je le déteste, je le déteste, je le déteste murmura Leila.

                 Un couteau à la main elle l'enfoncait sans relâche sur le plan de travail de la cuisine. Elle était folle de rage. Pourquoi avait - t - il fallut qu'il revienne ?

                  Le ciel n'était vraiment pas de son côté. Mais il allait voir ce qu'il allait voir, elle lui rendrait la vie si difficile qu'il s'en irait tout seul. Un sourire machiavélique apparu sur son visage.

                  Alors elle reposa le couteau et s'attela à faire le café. Elle versa le breuvage dans les tasses et y mit du sucre selon le goût de chacun _ un morceau pour son père, deux pour sa mère et elle-même _ en ce qui concernait notre chère intrus, trois cuillerées de sel, du jus de citron et enfin un peu de sauce soja.

                Elle prit le plateau et l'amena au salon. Elle servit tout le monde et s'assit à sa place avec un léger sourire. Lorsqu'il apporta la tasse à sa bouche, elle attendit patiemment sa réaction.

                 Et cela ne se fit pas attendre. Il recracha la mixture qui s'étala sur sa belle chemise toute blanche. Ses parents le regardèrent perplexes.

                  - Viens il faut vite la mettre à laver sinon la tâche ne quittera pas.

                   Sa mère n'essaya même pas de savoir pourquoi il avait fait ça. Elle dit à son père d'aller chercher une autre chemise pour lui. Pendant ce temps, Leila en profita pour prendre la tasse et la vider dans l'évier, la nettoya et mit du café normale.

              Elle resta à sa place et attendit qu'ils reviennent. Quand ce fût le cas, elle fût la première à demander.

                   - Pourquoi as - tu recraché le café ? Il est bon pourtant fit - elle le plus innocemment possible.

                    - Oui il est délicieux fiston ajouta Frédéric.

                    
                      Marcus ne répondit pas et y regoûta, ça avait un goût de café normale, bizarre il était pourtant sûr que c'était infecte il y'a à peine un instant. Puis soudain il comprit et lança un regard à Leila qui arborait un visage innocent. Mais la lueur malicieuse dans son regard la trahi.

                      Il ne fit aucune remarque et se contenta de la regardé le visage impassible.

                  - Vous avez raison il est très bon. Ma bouche devait être un peu pâteuse.

                 Cette explication sembla suffir aux parents de Leila mais elle, sembla un peu décontenancé. Sûrement s'attendait - elle à une autre réaction de sa part.

                  Or il jubilait trop pour agir précipitamment. Il aimait que l'on le défi, attendait le moment idéal pour fondre sur sa proie. Et sa belle brune apprendrait bien assez tôt que c'était elle.

                 Anxieuse était un mot faible pour décrire son état d'esprit du moment. Elle regardait les candidates entrées avec une mine assurée et sortir le visage aussi pâle que celui d'un cadavre.

                Toutes ces personnes devaient sûrement avoir de l'expérience dans le métier alors que elle était une débutante et en plus ex prisonnière. Elle grimaça à cette pensée mais se ressaisit rapidement.

                   Cette entreprise l'avait retenu pour un entretien d'ambauche en connaissant son passé puisqu'elle l'avait mentionné dans son CV. Elle c'était dit que ça créerait moins de problème. Cette constatation la rassura un peu.

                  Une énième candidate sortie du bureau mais cette fois ci avec les larmes aux yeux. Puis c'est elle que l'on appela, mortifié elle se leva et se dirigea vers l'immense porte comme une automate. Lorsqu'elle fût entré, elle vit un homme d'un certain âge assit derrière le bureau et il l'invita à s'assoir.

                 - bonjour dit elle en premier se souvenant des conseils de sa mère sur l'importance de la politesse.

<< un simple bonjour et merci peut pencher en ta faveur ma chérie.>>

                   - Bonjour mademoiselle répondit il en la scrutant attentivement.