L'aube

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Fermeture d'un monde inconnu et de beauté,
Ouverture du monde ordinaire et enchaîné,
Dans quelques instants, tu oubliera d'où tu viens,
Tu te lève en laissant ces souvenirs anciens.

Tu rempli ton bole d'une énorme fatigue,
Ce qui te rappel des souvenirs qui navigues,
Tu lèves la tête et regarde fixement au loin,
Voulant oublier ce qui arrive ce matin.

Tu t'arme de courage pour affronter ta journée,
Remplie de monotonie et de lâchetée,
Tu n'as pas envie de revoir ces abrutis,
Alors comme chaque matin, t'ouvres les yeux et souris.

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