Le grand tournoi

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PDV Sanji :

Le réveille sonne il est 9h est aujourd'hui c'est le grand jour pour Zoro. J'ouvre doucement les yeux quand je ressens mon bretteur me serre encore plus à lui. J'ai bien dormi..

Je me retourne vers lui pour lui caresser doucement ces cheveux en disant des mots doux pour qu'il se lève. Je prépare le petit déjeuner en donnant les croquettes à mon petit Bobie d'amour. J'ouvre la fenêtre du jardin pour aéré, l'air est frais avec des rayons sur soleil est juste sublime. Après que le petit déjeuner est s'installer, je vois un gros balourd de Marimo descendre les escaliers. Je crois qu'il est pas de bonne humeur.. il se gratte lourdement les cheveux avant de bayer comme un ours. Il arrive vers moi en mettant sa tête contre le creux de mon cou. Je rougis fortement.

- Mais qu'est ce que tu- commençant à dire.

- Bonjour... susurre t'il d'une voix toute casseuse.

Putain ça voix est terriblement sexy au réveille. Il est encore pas mal fatigué, je passe ma main dans ces cheveux en lui caressant doucement. Je sais qu'il adore quand je fais ce geste pour le réveiller. Il resserre ces bras autour de moi, ronronnant.

- T'es prêt pour ta compétition ?

- Hum...

- C'est quoi ce " Hum..." ? Me décalant de lui, prenant ces joues par mes mains. Aller un peu de motivation tronche de cactus. Tu veux devenir le champion ou pas ?

- Bien-sûr que oui ! S'affirme t'il.

- Alors tu vas bien te réveiller... tapotant mes mains sur ses joues. Et me montrer que y'a pas que des muscles dans ces bras, mais aussi de la volonté !

- Ouais ta raison. Souriant angéliquement. Il s'assoit sur la chaise, pendant que je croise mes bras sur mon torse.

- Et mon bisou du matin ? dis le cuisinier avec un sourire provocateur.

- Viens là si tu le veux.. Réplique le vert en dirigeant son doigt pour qu'il viennent.

Sanji attend plus et embrasse son amant.
Il commence à déguster leurs petits déjeuner après que Zoro ce prépare pour son championnat.

- Tu es prêt Sanji ?

- Quand tu veux Marimo.
À toute à l'heure Bobie~!

On ferme la porte à clef, direction le championnat.

- Je peux conduire ? Me demandant le vert.

- Hors de question, refusant immédiatement. tu vas te tromper de chemin. Tu veux pas avoir ton trophée ou quoi ?

Il souffle lourdement avant que je prenne le volant. Nous passions environ 20 minutes pour ensuite arriver. Je crois que je suis tout aussi stressé que lui. J'ai le coeur qui bat à trois mille à l'heure !

Il y'a pleins de gens, mon dieu le stresse..

- Tu arrêtes de bouger n'importe où. Raconte le bretteur.

- C'est pas de ma faute, je stresse.

- Logiquement ça doit être moi qui devrais être stressé.

Des hauts et des bas.. { TERMINÉ }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant