Quelques Gouttes de Sueur... [Recueil de Lemons]

|┉┉┅┄┄┈•◦ೋ•◦❥•◦ೋ Armin×Fraulein (Aka Angelika-Chan)

• Lemon OS pour Angelika-chan
(ne te demande pas pourquoi je publie si tard...)
• Point de Vue d'Armin

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La chaleur d'un foyer, la douceur d'un plaid sur les genoux, le bonheur d'avoir une femme à ces côtés...
Voilà les choses que je cherchais depuis si longtemps...

Noyé sous les couvertures et les coussins, je lisais tranquillement un ouvrage sur la vie maritime.
Fraulein m'avait laissé un doux chocolat chaud comme elle savait bien le faire, même son sourire était semblable à une sucrerie.

Tout doucement, elle s'était approchée de moi en posant sa main sur ma joue.
Sa chaleur était entêtante et pleine d'une tendresse presque infini, je lui avais glissé un doux baiser dans le creux de son cou.
Petit à petit, elle s'était glissée sous cette fameuse couverture pour profiter de la lecture.
Je reconnaissais le regard qu'elle me faisait, un regard plein de curiosité et d'une avidité jalouse.

Bien que je suis frêle d'apparence, je suis tout de même capable de porter ma femme sans problème.
Son corps nu me donnait de terrible envie, j'embrassais chacune parcelle de son corps.

Je calais ma tête contre sa belle poitrine, flexible et légèrement rebondi. Elle mordillait la peau de mon pauvre cou chétif, chaque morsure me laissait de belles marques venant de sa dentition.

Voulant reprendre le dessus sur la situation, je l'avais plaqué contre notre lit.
Avec la plus grande des douceurs, je m'étais glissé en elle, tout en l'embrassant.
Elle se sentait un peu plus soulagée, me voyant contrôler nos débats.
Je caresse ces beaux cheveux, semblable à de la belle soie moirée, tout en prenant soin de ne pas lui faire peur.

Voyant la fatigue dans ces yeux, je retirais sans faire trop de geste brusque.
Son sourire si heureux me faisait chaud cœur, un véritable petit bonheur pour moi.

"- Armin... Je trouve que ton visage enfantin est trompeur, il ne montre pas la réelle perversité qui sommeille en toi...

- On va dire que c'est ce qui m'a permis de vous charmer...
Ça n'aurait pas été drôle, non ?"

Couché l'un contre l'autre, je la regardais en train de lutter contre le sommeil.
Elle s'était finalement endormi comme une petite crêpe, en prenant toute la place dans le lit.
D'une façon lasse, je m'étais approché de son oreille pour lui susurrer ces simples mots:

"- Bonne nuit, Frau..."