Quelques Gouttes de Sueur... [Recueil de Lemons]

|┉┉┅┄┄┈•◦ೋ•◦❥•◦ೋ Yuki×Jean

•Pour YukiElSnow
•Point de vue extérieure

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"- Si ma mère ne veut pas qu'on le fasse chez elle, on le fera dans sa grange."

Ainsi était la phrase que le jeune chevalin à sa belle, cette dernière s'était mise gloussé tendrement avant de rejoindre la voiture qui l'attendait...

•••

Enfin, la nuit était venue, deux silhouettes déambulaient dans un champ pour rejoindre cette fameuse grange.

Ces deux silhouettes riaient comme de jeunes enfants, discutant de la pluie et du beau temps.
À l'intérieur, des vaches et des bœufs dormaient paisiblement dans leurs enclos.
Dans une grande discrétion, Jean avait mis une échelle pour rejoindre le niveau du dessus.

"- Les dames d'abord !

- Tu es irrécupérable, Jean...

- Je le sais que je suis irrécupérable, c'est pour ça que je suis irremplaçable à tes yeux !"

Elle était passée la première, en montant prudemment les barres de l'échelle branlante.
Pendant ce temps, son tendre louchait sous sa jupe tout en restant concentrer.

Dans l'étage supérieur, une sorte de "matelas" de paille couvert d'une couverture et une petite table étaient installé dedans.
Sur cette dernière traînaient une petite lampe et un paquet de protection.

Tout doucement, Yuki se déshabillait sensuellement. La vision de ces épaules dénudées lui avait donné de tendre envie.
Il posait sa langue légèrement râpeuse contre le cou rougie de honte.
Ces longues mains pétrissaient sa petite poitrine rebondi, grâce à ces doigts experts.

Des caresses, toujours et encore...
Des longues, des courtes, des délicates, des brutales...
Ce moment était propice pour mettre la protection d'une façon beaucoup plus ludique.
Petit à petit, une confiance mutuelle et une certaine aisance s'étaient créée entre les deux partenaires.

Il se tenait désormais à genoux, son torse finement dessiné relevé. Elle s'était installé sur ces cuisses tout en lui accordant un baiser.
D'une folle détermination, le chevalin s'était renversé en arrière jusqu'à poser ces épaules à terre. Puis avait attrapé les poignets de la jeune femme d'une seule main.

Chacun de ces mouvements s'harmonisait avec ceux de sa tendre compagne.
Il était semblable à un cavalier et son cheval, dans une grande steppe. Un cavalier ivre d'une certaine liberté, qui se traduisait par des mouvements rapides.

La main qui était restée libre se permettait de caresser le ventre de sa compagne. Il était, par contre, incapable de donner de violents coups dans les reins de son amante.
Il savait pertinemment qu'elle détestait ce genre de pratique, aussi soit elle.

Petit à petit, il avait ralenti son mouvement pour pouvoir se retirer. La fatigue commençait à se voir sur le visage des deux partenaires, se manifestant par des sourires naïfs.
Il retirait avec un peu de mal sa protection et l'avait jeté dans une petite poubelle faite exprès.

Leurs corps nus s'étaient unis dans une folle danse, cachés sous les draps.
C'était d'un baiser qu'il avait terminé leur nuit, dans un havre peu confortable qu'était une grange.