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Une de perdue, dix de retrouvées. Mais est ce que les dix valent celle que tu as perdue?

Pdv Leïna:

Le lendemain matin, le réveil fut rude mais je m'habituerais. J'ai couru seulement une heure et je reste sur ma faim, mais je manques cruellement de sommeil et mon corps n'est pas à son maximum de ces capacités. Je n'ai pas croiser Malik, et ça me déçois. Parce que je voulais clairement lui demander ce qu'il insinue. C'était peut-être indirectement une menace. Pour qui il se prend pour me menacer.
Je montes, prends ma douche, me maquille et met ça:

Oui, toujours du noir, parce que ça reste ma couleur préférée

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Oui, toujours du noir, parce que ça reste ma couleur préférée. Je ne prends pas, ni de cahier, ni de sac pour les cours. Je me contente, d'une feuille que j'ai pliée et mis dans ma poche arrière et un stylo. Généralement, en cours, mon subconscient écoute ce que le prof dit et ce qui me semble étranger ou que je ne comprends pas, je le note sur cette feuille et le travailles à la maison.
Je penses être légèrement en retard, mais bon, c'est pas comme si je ratais quelque chose. Je descends et trouve mon oncle. 

-Salut beauté, ça va?

-Oui beau-goss, et toi?

-Maintenant que tu m'as dis que je suis beau, je me sens mieux que bien

Je rigole avec lui et il me propose de me déposer. J'accepte avec plaisir et cette fois, il me dépose devant l'école, même si il roule en Bentley. Rien d'anormale bien sûr. Tous les regards se tournent vers moi, encore une putain de fois. Je pensais être le manège le jour de ma rentrée, mais pas tous les jours. Je vais pas le supporter et je vais peter un câble. Néanmoins, je restes la tête haute et impassible. Je fais encore tache, toute vêtue de noir. J'ai encore maths ce matin, avant même de rentrer je suis fatiguée. Oui, comme vous l'aurez constater, je suis pessimiste, depuis peu. Alors je rentres et m'installe au fond de la salle et comme la dernière fois, Mackenzie s'assoie à côté de moi.

-Coucou!

-Salut Macki. 

-Depuis quand tu me donnes un surnom?

-C'était un réflexe. Ça va?

-Ca va et toi?

-Ca va merci. Dis moi, tu peux expliciter ce jeu dont tu m'as parler la dernière fois?

-Oui. C'est compliqué. Ce lycée n'existe que depuis quelques années. Et les élèves qui l'ont intégrer ont ramené avec eux un jeu qui s'appel Virginity Game. En gros, il y a quatre joueurs, tous en terminal, tous sont des bombes atomiques. Ils choisissent chacun deux pions par ans, et ils leur enlèvent, bien sûr avec leurs consentements, leurs virginités au fur et à mesure de l'année. Celui qui en a enlevé le plus, à gagner le jeu. 

Je la regard, et pars en fou rire. On est où la? Dans l'asile des fous ou quoi? 

-C'est une blague j'espère!

The virginity gameOù les histoires vivent. Découvrez maintenant