La Guerre, La Ruine et La Peste

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Les dieux de notre monde ont créer la vie animale, végétal, les cycles, mais les hommes, certains pensent que se sont le fruit de l'évolution animal, d'autres pense qu'un dieu aurait créer les hommes dans son coin avant de s'en aller... dans ce monde, c'est peu probable, mais aussi imprévisible fut la création des hommes, ils régissent le monde désormais et pendant que les dieux sont occupés, ils se défoule dans la confusion d'Erelion, certains s'en ébaubissent et d'autres s'en fourvoient... Ceux qui s'en divertissent en rient sans foi ni loi...

Dans l'ombre d'un lieu poisseux, froid et humide, avancer quatre personnages dans un couloir fort long, en guise de murs, des grilles et des barreaux servant de cellules, aux pires être du monde, les deux premiers étaient bardés de métal et de bandes de cuir bouilli, chacun porte une lance dans une main et dans l'autre une chaîne, relier au cou d'un des individus derrière eux, les individus derrière eux étaient habillés en haillons, les mains liées par des menottes en métal, une lanière de cuir cloutée au cou chaînée, ainsi qu'une cagoule noir, obstruent la vision.

-C'est qui ceux-là ?! gueula un prisonnier qui observer le convoi avec intérêt. Elles ont l'air juteuses ! affirme-t-il en se léchant les babines.

-Pas touche ! Ce sont des criminels de compètes ceux-là ! dit un des soldats en donnant un coup de lance sur les barreaux.

-Oh ! fit l'ensemble des prisonniers qui s'étaient précipité vers les barreaux pour regarder les nouveaux. Qu'est-ce qui z'ont fait !? Gueulèrent en cœur les prisonniers.

-ils sont accusés d'avoir fait explosé une section complète d'égout ! Ils ont causé des éboulements dans le quartier sud de Galistown et responsable d'une bonne dizaine de morts. Fini-t-il par dire froidement, Tout le monde retenait son souffle, comme choqué par cette révélation.

Le reste du trajet fut silencieux, ponctué de chuchotements de la part des prisonniers et des bruits de chaînons qui s'entrechoquent, ils arrivèrent finalement au bout du couloir.

-Oh ! Fait chier, il y a pas pus de cellules vides dans s'maudit donjon ! Faut vraiment que les magistrats bossent ! lâcha-t-il en voyant dans la dernière cellule un mélange entre un chat et un humain d'environ 3 pousses, portant lui aussi des haillons et une lanière de cuir cloutée, allongé sur le sol, ne bougeant pas, seul son regard vif, se déplacer rapidement, comme observant le moindre détail de la situation, un léger sourire se dessiné sur son visage.

-Vous m'avez apporté beaucoup de viande, je ne sais pas si je vais pouvoir tout digérer d'un coup. dit le chat avec mépris aux soldats, tout en observant les belles formes des prisonniers, qui de toutes évidence, étaient élancées.

-Ferme-là sale matou, dit l'un des gardes qui s'empresser d'ouvrir la porte. Si tu continues à la ramener je ferai de toi un t... le chat l'interrompit

-Un tapis oui je sais, on me l'a dit trois fois depuis mon arrivée... dit-il avec dédain. il semblerait que les blagues humaines sont aussi limités que leurs esprits. l'un des individus cagoulé eut un petit hoquet de rire, qui fut rapidement calmé par un petit coup d'épaule de la part de son comparse , le garde fini d'ouvrir la porte de la cellule, il dégaina une lanière de cuir et attrapa celle accroché au cou du chat, le soulevant au-dessus du sol et joignit les deux lanière avec l'un des barreaux de la grille.

-Voilà, comme ça tu n'y toucheras pas ! Sale matou. dit-il avec un sourire sadique. tu pourras enfin dormir debout avec ça ! Finit-il par dire avant d'éclater de rire avec son compagnon, les soldats firent rentrer les deux enchaînés et retirèrent leurs cagoules.

Sous les yeux de leur compagnon de cellules, apparu deux êtres fins, efféminés, les longues et belles oreilles pointues, de longues mèches de cheveux noir de jais, une peau clair comme le grès.

Etude du MalOù les histoires vivent. Découvrez maintenant