Partie 148

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Moi: je suis prête

Dr: alors 1

Je stressais

Dr: 2

Je pleurais

Moi: non stop s'il vous plaît arrêtez !

Dr: un problème ?

Moi: non je vais pas réussir à garder ça toute ma vie, je m'en voudrais

Dr: on annule l'opération ?

Moi: oui s'il vous plaît

Je me rhabille je pars vite dans la voiture, Yannis est resté avec le docteur pour lui parler. Au bout de 10 minutes il arrive

Yannis: viens

Il ouvre ses bras pour que je lui fasse un câlin, je m'y suis directement blottie

Moi: j'aurais pas eu ma conscience tranquille si je l'aurais fais

Yannis: c'est ton choix et je suis fier de toi

Moi: j'ai pas envie de souffrir toute seule les nuits

Yannis: on sera 2 t'inquiètes pas

Il rigole et il démarre la voiture pour la maison. Des qu'on est rentré, je me suis déshabillée et je suis aller au fourneau

Yannis: tu veux de l'aide ?

Moi: oui

Yannis: je fais quoi ?

Moi: coupes les poivrons en rondelle

*{Dans la peau de Yannis}*

Je tentais de couper tant bien que mal les poivrons, je trouve je cuisine bien hein je devrais devenir chef pâtissier, je vous régalerez plus que Cyril libac ou je sais pas comment il s'appelle ce battard. Enfin bref, je coupais mes petits poivrons et Neïla arrêtait pas de bouger, genre elle faisait des actions chelou. Elle me touchait la cuisse, le bras, elle se baissait devant moi zehma et tout

Moi: je vois très bien à quoi tu joues

Neïla: quoi ?

Moi: t'as qu'à me demander

Neïla: demander quoi ?

Moi: demander de coucher avec moi

Neïla: mais t'es parano

Moi: non, depuis toute à l'heure tu touches ma cuisse et compagnie

Neïla: j'ai le droit de te toucher encore

Moi: oui, mais là c'était différent

Neïla: ah bon

Moi: pourquoi tu me demandes jamais ?

Neïla: je sais pas

Moi: dis moi ce que tu veux

Neïla: 🤭

On est monté dans la chambre, je faisais tout pour lui donner une grosse envie

Neïla: Yannis qu'est-ce que t'attends ?

Moi: c'est frustrant hein

Neïla: s'il te plaît.. continues

Là ça sonne à la porte

Neïla: non s'il te plaît laisses sonner

Moi: je dois aller ouvrir

Neïla : je peux pas attendre, c'est trop dur

Chronique de NeïlaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant