le dragon de la destinée

Partie sans titre 11

Chapitre 11

Loin de là, Axel, Elea, Harry, Severus et Sirius mettaient au point le mauvais coup contre Ombrage. Ils allaient la faire fuir pour avoir osé mettre des lois aussi dégradantes contre les loups-garous et toutes les autres créatures magiques. Comme Harry ne pouvait rester à Poudlard sans faire des dégats, ils avaient décidé qu'avec la fortune des Black, il ouvrirait son magasin à Pré au lard. Et ce dernier devait être inauguré le lendemain. Harry avait engagé un vendeur, Remus Lupin-Dumbledore, qui pouvait ainsi être près de sa famille et avoir un travail honorable. La fraterie discuta jusqu'à tard le soir, puis ils allèrent se coucher afin d'être en forme pour le lendemain et pour l'inauguration.

Le jour suivant, le soleil réveilla deux dragons, un chien, une panthère noire, un loup-garou, un phoenix et deux grands-parents surexcités. Le magasin devait ouvrir ses portes à 8 heures et ils étaient réveillés à 4 heures. Briana était très amusée par la nervosité ambiante même si elle était aussi excitée que sa famille. Quand enfin le moment de partir arriva, ils filèrent à l'extérieur de Poudlard afin de transplaner dans le petit village de Prés-au-lard. Quand ils arrivèrent, ils virent un monde fou. La pub qu'avait fait Remus, avait parfaitement fonctionné. Personne ne voyait la devanture du magasin, car une immense pièce de tissus la cachait. Quand huit heures sonna, Harry s'approcha de l'étoffe et la tira d'un geste majestueux. Le tissus s'effondra sur le sol avec une grâce incroyable et libéra à la vue de tous, la devanture. Tous observaient avec stupéfaction le magasin. Une énorme tête de dragon noir avec une gueule bardée de crocs servait de porte d'entrée. Les marchoires serrées le magasin était fermé, la gueule grande ouverte vous pouviez aller vous remplir la panse. Les crocs étaient en pain de sucre, les écailles noires étaient en réglisse, les yeux en boule de gomme et la langue rouge en... moquette. De la fumée colorée sortait des naseaux. C'était une fumée à l'odeur sucrée de bonbon. Dumbledore était stupéfait par l'imagination fertile de son fils. A l'intérieur, des centaines de bocaux remplis de sucreries attendaient les enfants et les plus grands.

Albus sentait la bonne odeur titiller ses narines, Ce magasin serait bientôt son préféré. Harry avec un grand sourire s'écria :

-La famille Dumbledore et moi-même sommes ravis de vous inviter à pénétrer dans l'antre du Dragon des Délices.

Les sorciers s'empressèrent de pénétrer dans le magasin et le pauvre Remus fut pris d'assaut. Sirius, Albus, Briana, Severus, Axel, Harry et Elea l'aidèrent le plus possible. A la fin de la journée, le magasin n'avait pas désempli et le chiffre d'affaire avait explosé. La petite famille fut ravie et Remus épuisé. Ce dernier ne pensait pas que ce travail soit si difficile. Après avoir souhaité une bonne nuit à sa famille, il alla s'effondrer dans son appartement qui se trouvait au dessus de la boutique et de celui d'Harry tandis qu'Albus et le reste de la famille Dumbledore allaient se reposer. Le vieux sorcier s'endormit comme une souche sachant que le lendemain les cours recommenceraient et qu'arriverait en plus des élèves, un crapeau haït par ses cinq enfants et de son petit fils.

Le premier septembre arriva suffisamment tôt pour les professeurs qui attendaient avec impatience le mauvais coup des deux dragons. Le professeur Ombrage était aux abonnés absents depuis le matin. Aller savoir pourquoi ?... Peut-être parce qu'elle avait reçu une lettre lui disant :

Chère mademoiselle Ombrage. J'ai la preuve qu'Axel Rogue-Dumbledore prépare un mauvais coup dont vous serez la victime innocente. Venez me rejoindre ce matin à 7 heure devant la cabane de ce balourd d'Hagrid.

Un ami qui vous apprécie à votre juste valeur.

Le crapeau ravie de pouvoir causer du tort aux Dumbledore se précipita au lieu et à l'heure du rendez-vous et attendit. Brusquement dans un souffle, une barrière de flammes apparut la séparant de la sécurité du château. Elle poussa un croassement d'horreur en voyant les flammes lui foncer dessus. Elle se mit à courir dans la forêt toujours poursuivie par le feu qui ne touchait pas les arbres. Elle tentait de crier, mais à chaque fois qu'elle ouvrait la bouche pour hurler, une langue de feu l'effleurait. Il avait vraiment l'air d'être vivant. La sorcière complètement paniquée tenta de lancer des sorts contre cette entitée, mais en vain, car les flammes absorbaient les sorts et devenaient plus virulentes. Elle dépassa le territoire des araignées et entra dans celui des loups-garous nés, créatures de la nuits qui pouvaient transmettre la malédiction et se transformaient quand ils le voulaient. Ils haissaient cette femme et avaient répondu présent pour faire d'elle l'une des leurs. Son nouveau destin fut scellé dans un hurlement mélancolique de loup en chasse.