Torse.

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Note d'auteur: bonjour c'est une histoire en collaboration avec Yumiko-69, j'étais bien inspirée, j'espère qu'elle vous plaira.

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Ma main froide se rapprocha doucement de mon torse. Fin et légèrement musclé. Elles le retracèrent  et viennent se croiser pour former une croix. Une cicatrice.

Après ce moment de contemplation, je met ma chemise blanche et mon veston vert. Je sors de ma chambre quand je tombe sur mon père. Assis sur la table du salon.

- Tiens, tu n'es pas parti au village ?

- Non, mais tu pourrais aller à ma place pour aujourd'hui, si ça ne te dérange pas.

Mes yeux s' écarquillés, mais je vis dans une maison éloignée de tout, aux milieu d'un champ de blés. Avec mon père.

- Oui, mais tu es malade ?

Il se leva montrant que non. Et sa main se posa dans mes cheveux verts. Il les caressa pas comme un père le ferai mais comme si il caressait un animal.

Puis ses mains se posèrent sur mes épaules pour les frotter. Alors qu'elles descendirent je me détachai de son étreinte doucement.

- Bon j'y vais, à ce soir !

Je me dirigeai vers la commode où se trouve mes gants. Je les enfilai,  mit mes chaussures et prit de l'argent sous le regard tendre - enfin je crois - de mon père.

Une fois dehors, je vais dans la réserve et prit un gros sac de blé sur mon épaule et un autre dans une brouette. En route pour le village le plus pré !

Le soleil commence à taper de plus en plus fort et je passe une main sur mon front trempé de sueurs. Hésitant à enlever ma chemise, une maison apparaît dans mon champ de vison. Et derrière elle, un grand moulin.

Je toquai à la porte et un homme assez gros l'ouvrit. Il me regarda longtemps après avoir mit sa main dans ses rares cheveux gras.

- Ho mais c'est Izuku ! Tu ressembles tellement à ton père !

- Oui, oui, je vous apportes du blés !

Un large se forma sur son visage.

Il prit le sac, l'apporta dans sa maison. Et revenu avec de l'argent et me le donna.

Je je le salua timidement et continua mon chemin, l'homme avait failli touché mon épaule- sans essayée de la caresser j'espère- personne ne l'avait fait à pars mon père et ma mère. Morte.

Alors que je poussais doucement ma brouette, je tribuchai sur un gros cailloux,trébuche et me blesse à la cheville, la faisant saigner. Mon père vat me tuer. Pour arrêter le saignement, je déchirai un peu mon pantalon pour faire un bandage. Heureusement que la plaie n'est pas profonde et importante. Mais mon père vat quand  même me tuer.

Je me levais et boite très légèrement et me dirige encore vers le village.
Pendant mon trajet je rencontreraient des charettes.

J'entre dans celui ci, assez rempli , il faut le dire. Je cherchais avec mon regard le commerce où je devrais vendre mon blé. Je le trouvais et rentrait dedans.

A l'intérieur, une file assez longue" m'accueilli". Je rentre dans celle ci, me recroquevilla sur moi même, je n'aime pas vraiment la foule.

La personne devant moi ne fait que crier sur tout le monde, la femme au comptoir qui est loin. Un autre homme qui est près...

Supliant pour pas qu'il me cri dessus, mon pied tapa contre le sol rugueux. Mais hélas il se retourna vers moi avec un regard dédaigneux. Mince.

BlessuresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant