œil

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Bonjour petit disclamer. Je ne lis pas les scans donc je ne suis pas à l'aise avec Fuyumi et Natsuo (et ne parlons pas de Toya) donc Shoto est fils unique. Voilà

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<< Tu veux voir mon zizi ?>>

Je me réveillai en sueur, haletant et les membres tremblant comme des feuilles. J'essaye de me calmer face à ses douleureux souvenirs et je respire bruyamment.

Je me levais et pris une cruche d'eau et versa tout le contenu sur mon visage pâle, mouillant ma fine chemise en soie. Je soupire,je ne vais plus me rendormir,ça c'est sûr. Je l'enlève mais j'ai toujours chaud. J'en peux plus. Et aucune larmes ne coulent.

Le soleil se levait à peine et ses rayons s'infiltraient à travers les rideaux. Et oui je ne me suis pas rendormi. J'entendis la porte s'ouvrir. Mes yeux aussi. Je vois une femme d'âge mûr portant des lunettes pointues et des yeux verts émeraudes, ses cheveux noirs et lisses sont attachés en une simple queue de cheval.

- Marie? Peux tu changer la cruche ? Je l'ai finie.

Elle me regarda de son regard doux et me dit:

- Hum et c'est tout ?

Je comprends se qu'elle insinnuai et répond

- Et bien j'ai mouillé ma chemise.

Je la pointa du doigt et elle l'a prit et m'en passa une autre.

- Je préviens juste que vous êtes le premié de votre famille à être réveillé. Prenez votre temps.

Elle me sourit et s'en va. Je soupire en pensant à ma famille. Cette partie de moi qui me rattache à ce vieux pervers et à mes insomnies.

Je me relève, le visage blasé et les lèvres tendues.

Une fois dans la salle de repas, je suis le premier et je m'assois sur la chaise au bout. Les mets froids sont nombreux et variés. Je suis droit comme un pic. Une femme rentre dans la pièce doucement. Elle a des cheveux blancs et porte une robe bleue. Elle s'approche et me fait la bise.

- Bonjour Shoto.

Et c'est après ce simple mot qu'elle s'assit à droite de la table. On l'attend. Car oui monsieur veux qu'on l'attende peut être pour l'admirer.

Il arrive et j'ai l'impression qu'à chaque pas le palais allait tremblé.

- Bonjour.

Ma mère baisse la tête et je fis de de même pour me soumettre mais se n'est qu'une question de temps.

On mange et j'entends faiblement parler mon père avec un homme aux cheveux violets que je n'avais point vu.

- Cette tribu ne paie toujours pas d'impôts, pensez vous envoyez un diplomate ?

- Que penses tu Shoto ?

Je lève ma tête et je fronces les sourcils.

- Pourquoi ne pas les laisser vivre ?

Un blanc s'installa.

- Il est novice en politique et donc je préfère attendre.

L'homme haucha la tête et s'en alla. Des servantes arrivent pour débarrasser la table quand à moi je buvais. Mais...

- Shoto, il est temps qu'on peint un nouveau portrait.

Je me figeai et mes mains tremblèrent.

- Et par qui ? Dis je en retenant les tremblement de ma voix. 

- Et bien je pensais au prêtre Bernard.

BlessuresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant