Le studio de Rachel Jenkins, la seconde victime, était petit et tout y était bien rangé. C'était une grande pièce avec une petite cuisinette et une salle de bain. A côté de la porte d'entrée des boites de carton était encore fermés. Sur la table se trouvait un pot de géranium avec un ruban rose. Près de la fenêtre se trouvait un bureau avec une vue sur la rue animé. Les agents Brooke et Michael cherchèrent une piste quelconque pour les aider à trouver le criminel. L'agent Michael trouva des papiers déposés sur la table, il les lut et les il tendit à sa coéquipière.
— « C'est son formulaire de changement d'adresse. Rachel venait d'emménager elle n'a surement pas eu le temps de le remplir, dit Michael.
— Donc, elle ne devait pas connaitre ses voisins et ils ne remarquaient pas ses allés et venues, conclut Brooke.
— Probablement. J'ai aussi trouvé ça. »
Michael lui tend un deuxième papier, elle l'observa un instant avant de parler :
— « Le planning des réunions d'alcooliques anonymes. Elle commençait une nouvelle vie.
— Venez voir une seconde, dit Derek qui était appuyé dans l'encadrement de la porte. La police pensent qu'elle était chez elle, que le suspect est entré par la fenetre et l'a surprise, mais regardez, c'est ici qu'elle a pris une balle dans la poitrine. Et là, il l'a poignardé à l'oreille. »
— Donc après qu'il lui à tirer dessus, elle à essayer de s'enfuir vers la porte, conclut Brooke.
— Exactement. Il était dejà dans l'appartement quand elle est rentrée. L'entrée est la seule pièce de l'appartement qui n'a pas de fenêtre.
— Il l'a attendu patiemment sans que personne ne le voie, grommela Jennie.
— Donc, elle se trouve dans l'entrée, elle avance et pan ! Il lui tire dessus à cette endroit, dit Michael en reproduisant la scène, elle arrive tranquillement et elle ouvre la porte.
— Mais elle essaie de s'enfuir et il l'a rattrape, Brooke soupire puis demande à ses coéquipier, pourquoi ne lui a-t-il pas retiré dessus ?
Un policier qui l'ai avait observé se décida de parler, curieux :
— « Pourquoi lui a t'il enfoncé un couteau dans son oreille ?
— Il y'a plusieurs explications : traverser l'oreille conduit droit au cerveau. certains prisonniers cassent le manche de leurs couteaux. Ils brisent la lame cet ainsi on ne peut plus l'extraire, explique Michael.
— Y'a-t-il d'autre possibilités...? le policier demande encore mais cette fois, plus hésitant.
