"Maélie"
Après avoir passer l'après-midi a pleurer, pour ensuite ne plus être en larme, m'a fatiguer au plus haut point.
Alors, quand je rentre chez moi, je mange des sandwichs, car le souper serait prête seulement tard dans la soirée, et je vais me coucher.
Je sais qu'il est vraiment tôt, mais à la minute que j'atterris sur ma couette je sombre dans le sommeil.
Je me réveille doucement en regardant partout autour de moi. Mais quelle bonne nuit de repos, j'ai dû dormir comme un ours en hibernation.
Je regarde par ma fenêtre, et je vois qu'il fait noir. Pas étonnant, je me lève souvent vers 4:30 du matin. Je regarde donc mon cadran et je sursaute en voyant l'heure. Il est 2:00. Je m'affaisse dans mon lit et j'essai de retrouver le sommeil, mais rien à faire.
J'ai envie d'aller dehors, mais si je sors par la porte, mes parents le sauront, et je n'ai pas envie de me faire réprimander pour une sottise. Je remarque la fenêtre qui à l'air très accueillante.
Je souris toit en m'habillant pour ne pas sortir dehors en pyjama. Je m'engouffre par la vitre en laissant l'ouverture entrouverte. Un sentiment de puissance m'envahit.
Je cours dans mes rues, qui sont bien entendue désertes. Je me sens tellement bien que je pourrais rester ainsi pendant des siècles.
Je m'arrêtes de courir en voyant une silhouette au loin. La peur m'envahit et je me tasse de la rue en me mettant en retrait. Ce ne peut pas être un agresseur, car il ne peut pas avoir d'agresseur dans mon village sans que personne ne le sache.
Quand la personne passe en avant de moi, je remarque que je la connais bien.
-Drake! M'exclamais-je.
Il se retourne en sursaut et me regarde. Je vois qu'il y a des larmes sur son visage, et qu'il essai vainement d'essuyer pendant que d'autre les remplacent.
-Malie? Dit-il d'une voix enroué. Qu'est-ce que tu fais là?
-Je me suis endormie de bonheur et je me suis réveillé de bonheur, répondis-je sans mentir. Toi?
-Je ne voulais pas...
Sa phrase est coupé par un sanglot, pendant qu'il renifle. Drake est entrain de pleurer. C'est étrange, mais je dois l'accepter comme ça. Je sors un mouchoir propre de mes poches et lui tend. Il le prend de bonne grâce et se mouche avec sonorité.
-Est-ce que tu veux parler? Demandais-je avec douceur en m'approchant de lui.
-Je ne veux pas t'encombrer, me dit-il. C'est assez gênant comme ça, je ne voudrais pas en rajouter.
Je le prend par les épaules et je plante mes yeux dans les siens, qui sont remplis de pluies salées.
-Écoute, expliquais-je avec un ton ferme. Il n'y a rien de gênant dans le fait que tu pleures. Tu peux te confier, car je sais que parler fait du bien, même si ce n'est pas évident. Si tu ne veux pas, je comprends, mais je suis là, d'accord?
En guise de réponse, Drake me serra contre lui, dans une étreinte de tristesse et de désespoir. Les journées de larmes, pensais-je.
Il me lâche après un moment, et s'éloigne un peu.
-Tu sais aujourd'hui, dit-il d'une voix chevrotante. Quand vous aviez crues que j'étais mort, mais que c'est Cassidir qu'il l'était? Quand je suis arrivé, Brooke n'arrêtait pas de pleurer, et elle n'en finissait plus de se mouiller les joues. Elle n'avait aucune raison de pleurer. J'étais là. Cassisdir, non. Je suis seulement sortis car he ne voulais pas qu'on me voit pleurer, même si c'est pour la mort de mon cousin. Car je sentais que Brooke avait besoin que je sois fort, ce qui n'est pas vraiment le cas.
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Âmes soeurs
RomanceMaélie est le genre de fille qu'on ne remarque pas. Simple et discrète, elle pourrait passer pour une intellectuelle, ce qui est absolument faux. Elle se qualifie elle même d'âme silencieuse C'est alors qu'un gars déménage à côté de chez elle. Beau...