Chapitre 2

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Bonsoir dragonnier, merci pour les 40 vues sur le premier chapitre. Bon, sinon, il va y avoir du changement. Je vais publier un chapitre les lundi et les vendredi au lieu des dimanche donc voilà voilà. Désoler pour les fautes d'orthographes et puis bonne lecture. Je sais que ce chapitre n'est pas long mais les prochains sont deux fois plus long minimum...

...


Une fois les drakkars accostés au port de Beurk, Stoik tendit un panier à Gueulfort et ensuite, il débarqua du drakkar. Tous deux, se dirigent alors vers la rampe qui est incrusté à la petite falaise pour aller en direction du village. Stoik avait donné l'ordre que le reste des hommes débarquent les vivres ainsi que les armes qui restait dans les navires.

Pour sa part, Gueulfort n'avait pas vraiment envie de parler de son apprenti forgeron qui connaissait échec après échec dans les cours de dragon, donc il tenta d'ouvrir une discussion car il voyait bien que Stoik s'apprêtait à le lui demander.

-Et puis, l'avez vous enfin trouvé ? S'intéressa Gueulfort. Se doutant déjà de la réponse.

Car oui, plus de la moitié de la flotte de l'armada de Beurk était parti et à ce qu'il vit, moins de la moitié étaient revenus et ceux qui étaient revenus, n'étaient plus en état de pouvoir retenter une nouvelle expédition avant l'arrivée des glaces pour trouver le nid.

-Jamais de la vie! À croire que c'est enfants de démons apparaissent la nuit pour faire leurs raids et ensuite disparaître! Fit-il mécontent.

-Beaucoup de pertes? Demanda l'unijambiste manchot.

-Quelques-unes, mais aucun bon guerrier, au moins. Bon sinon j'espère que tu as eu plus de chance avec les nouvelles recrues? Demanda le roux.

Ils venaient de commencer à monter la rampe longeant la falaise pour aller en direction de village. La rampe était moins bien éclairée que le port, mais elle était juste assez éclairée pour voir tant bien que mal le sol en bois pour ne pas tomber.

-Et bien... comment dire... Si tu pense à Harold et bien il se trouve que t'es problèmes familiaux ne font qu'augmenter de jour en jour, alors non. Dit-il timidement ayant peur de sa réaction.

-Ah Gueulfort je vais le tuer se gamin. Il ne fait qu'empirer au lieu de s'améliorer. Et quand le peuple le regarde, il pense tous à moi! T'imagines même pas la honte que je subi chaque jour à cause de lui! Fit-il avant de prendre une grande inspiration et de continuer. Chaque fois qu'il sort dehors, il s'arrange pour faire des problèmes pour que je doive tout réparer ce qu'il détruit. Depuis qu'il c'est marcher, il attire les problèmes. En trois cent ans d'existence de Beurk, on n'a jamais eu autant de nouvelle hutte, car à chaque fois qu'il sort dehors, je dois en réparer une! Si sa continue, les dragons comparés à lui détruisent moins de chose. Mais j'ai une solution pour régler sa. Fit il.

-C'est quoi? Demanda le blond.

Il agrippa Gueulfort par le bras et l'attira sur le coter de la falaise. Il s'apprêta à continuer lorsque quelqu'un passa. Il attendis que la voie soit libre et reprit.

-Imaginons, s'il disparaissait du jour au lendemain, personne ne va s'en rendre compte et puis le village va se porter mieux. Dit-il. Alors t'en pense quoi.

-Mais attend une minute là, tu n'est pas sérieux quand même ... Hein ? Demande le blond étonné au plus haut point par l'idée de Stoik.

Le simple regard noir de Stoik suffit pour comprendre qu'il ne rigolait pas.

-Franchement Stoik, tu ne peut pas faire sa!

-À oui ? Moi j'pense que j'vais me gêner. Lui répondit froidement le roux. Et puis, il y a une loi qui dit que tout se qui se passe sous MON toit est LÉGAL, donc mon toit, mes lois. Dit Stoik.

-Pourtant ce n'est pas de la faute du gamin Stoik, tu ne vois pas que tout se qu'il fait ehhh...essaye de faire, c'est pour que tu sois fier de lui. Dit le manchot.

-À oui ? Et bien faudrait déjà que j'arrive à croire que c'est mon propre fils... Quand je le vois, la première chose qui me viens en tête ces que je me demande si Valka m'avais pas trompé à l'époque.

-Pourquoi est-ce qu'elle aurait fait sa? Demanda Gueulfort.

-Je ne sais pas, mais la seule chose que je sais c'est que cet avorton brindille N'EST PAS MON FILS. Dis le roux qui était de plus en plus en colère par la désapprobation de son ami envers son idée.

-Ce n'est pas digne ce qu- Commença Gueulfort avant d'être brusquement coupé par Stoik.

-À croire que maintenant tu prends sa défense... Je pourrais t'accuser de trahison si tu conti-

-Furie Nocturne ! Couchez vous ! Cria un homme du peuple.

Le sifflement du Furie Nocturne se fit entendre. Tous les hommes se mirent accroupis sur le sol avec des boucliers ou des objets qui peuvent servir à ce protéger la tête. Quelques minutes plus tard, un silence régnait dans la place...

Le Démon NoirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant