Des acrostiches sur les pavés,
L'odeur du sable, des rues mouillées.
Un parapluie ouvert la nuit sur un balcon et des pots de fleurs en terre cuite sur vos tables dans les salons.Quelques sablés posés dans des plateaux d'argent et nos cœurs qui songent à l'odeur d'hier, comment l'on vivait avant.
Des instants gravés par la peinture dans le cadre de ces tableaux, immobiles le long du mur.
De ces amours mortes, natures mortes incandescentes qui brûlent la rétine de nos chers yeux.Et la nostalgie de la jeunesse,
Enfance Parisienne à courir les rues ensoleillées. Une brioche à la main et des sourires à distribuer.
VOUS LISEZ
Entre Baudelaire et Moi
RandomSi t'aime te perdre dans un bordel magique, chausse tes lunettes.