Chapitre 4🥀

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Pdv  Edmund

Nous arrivons enfin à une berge, le nain descend le premier et va pour placé l'ancre dans les gros galets, pour empêché la barque de partir. Avec Susan et Peter nous tirons la barque sur le rivage, alors que Lucie va je ne sais où.
Nous tournons la tête, quand nous entendons Lucie dire:
-Hey ça va ? Tu n'as rien à craindre, nous somme tes amis. Quand je vois à qui elle parle, un sentiment étrange m'étrangle la gorge.
- Ne bougez pas votre Majesté !  S'exclame le nain.
Je vois l'ours foncé sur ma petite soeur, pourquoi ne s'arrête t'il pas !
Lucie qui nous regardait, se retourne et quand elle vois l'ours foncé sur elle, elle se met à courir. Peter et moi allons chercher nos épées, Susan bande son arc et dit:
- Ne s'approche pas d elle ! Mais rien à faire, alors que je cris.
-SUSAN TIRE !
Lucie tombe à terre, et se retourne pour être face à l'ours, elle se met à crié de peur, puis une flèche se plante dans le coeur du Narniens. Je regarde Susan et vois que ce n'est pas elle, mais le nain.
Elle se tourne vers ce dernier, qui lui va vers l'ours.
- Mais pourquoi ne c'est-il pas arrêté ?
- Il devait être tout simplement affamé. Répond le nain.
Nous nous regardons, Peter, Susan et moi. Puis Peter et moi, nous nous élançons vers notre soeur. Peter prend Lucie dans ses bras et le nain vérifie si il est bien mort.
- Merci Dit Lucie.
- Il était sauvage soufflais je surpris.
- Il ne parlait pas du tout. Continue Peter en me regardant.
- Il a trop été traitée comme un animal sans cervelle, voilà le résultat. La Reine ne peu sauvé tout le monde, ce qui deviennent des animaux à l état sauvage, se sont ceux qui n'ont pas pris la menace en compte. Vous allez apprendre que la barbarie à Narnia reigne plus que tout. Et le nain se mi a tranché la gorge de l'ours.
Je ferme les yeux sur ça...

Pdv Elerinna

Il fait nuit, je suis au même endroit que la dernière fois et regarde ce ciel étoilé.
Caspian me rejoins comme la dernière fois et s'allonge pour mieux regarder les étoiles.
-Caspian. L'appelais je.
- Oui ?
- Raconte moi plus précisément comment à tu fais pour trouver mon peuple ?
Le prince ce relève et dis d'une voix nostalgique.
- J'étais entrain de fuir quand les Tel-Marin sont apparue, ils se sont mi à nous tiré dessus, un de nous a été touché, j ai fait demi tour et l ai porté, alors que nous fuyons, petit à petit des Tel-Marins tombaient et criaient de douleur, puis plus rien. La chose à finis par me sauté dessus, mais Chasseur de Truffe à crié de rien me faire, en faites c'était une souris parlante. Il dit en riant.
Je souris.
C'est sur que les Narniens sont plein de surprise. Une souris mousquetaire c'est plutôt surprenant.
- Un centaure et arrivé et puis ils nous ont emmené vers les Narniens, au début c était dans là forêt puis après dans le temple. Ils m ont criait leur haine envers moi, car je suis un Tel-Marin, ils criaient leur douleur et leur colère d'avoir perdu leur bien, d'avoir perdu leur reine.
Je baisse le regard.
- Puis je leur ai expliquer que je n'étais pas comme eu, les Centaures se sont rangé avec moi, puis le reste des Narniens.
J'hoche la tête.
- Que voulaient-ils dire, d'avoir perdu leur reine? Demande Caspian.
- Ce qu'ils veulent dire c'est que c'est en parti votre faute que je suis parti, je ne pouvais resté auprès d'eux, j'étais un danger, car je savais que les Tel-Marins viendrait me chercher à un moment, donc je suis parti, laissant une grande protection autour du temple et de la forêt.
Caspian pose son regard noir sur moi.
- Mon oncle vous cherche également.
Je me fige...
- Mon oncle, vous veux car vous êtes réputée pour être, un être au pouvoir surhumain, d'une puissance que même une armé de 5milles hommes ne suffirait pas à atteindre votre puissance.
Je souris.
- La puissance, vous ne voyez que celà, vous les Tel-Marin, ce n'est pas la puissance qui me permet d être forte, mais mes amis, l amour que le peuple me porte, l amour de l amitié,  l amour pure qu' une personne peu vous portez. Voilà ce qui fait ma puissance et mes pouvoirs, si ton oncle arrive à me mettre la main dessus, jamais il ne réussira à me faire armes, car je mourais. 
Un silence se fait.
- Vous mourez?
- Oui car je l'aurais voulu, si je veux vieillir, je vieillis, si je veux rajeunir, je rajeuni, si je veux mourir pour le bien de Narnia, je meurt.
- Wooow. Fait Caspian impressionné.
Je souris un peu plus.
- Bon je vais me couchez. Dit ce dernier en s'étirant les muscles.
- Bonne nuit Prince Caspian.
- Bonne nuit Reine Elerinna.
Il part et moi je reste, je regarde les étoiles et dis d'une voix mélodieuse.
- Papa... pourquoi es-tu parti alors que nous avions besoin de toi ? Je veux juste savoir pourquoi. Tu peux me répondre ?
J attend mais rien...
Pas de réponse.
Mes pensées vont vers un beau blond, au yeux d un bleu océan, au corps musclé.
Peter...
Si je savais où il était, je ne serais pas là, je serais dans ses bras, à l embrassé jusqu' à ne plus sentir mes lèvres.
3000 ans sans ce crétin, c'était une souffrance, 3000 ans sans nos soirée sur la plage avec Lucie et Susan, 3000 ans sans regarder tout les cinq, le coucher de soleil sur Cair Paravel... 3000 sans les blague pourri de Edmund, 3000 ans sans eux... comment ai-je fait ?
3000 ans seule, pourtant je suis là, j'aurais pu abandonné, mais  je ne l'ai pas fait, car j'aime mon peuple, car j'ai de l'espoir, un espoir qui ne s'éteindra jamais, pas jusqu' à qu' il ne meurt.
C'est Peter qui me fait croire en cette espoir, c'est Susan qui me fait y croire, c' est Lucie qui me fait y croire, c'est Edmund qui me fait y croire. Si ils me quittent tout les quatres, mon espoir disparaît avec eu, et je disparaît également.

Une cinquième reine... Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant