Aprés avoir fini d'écrire, Katsuki ferma son petit carnet rouge et le rangea bien à l'abris sous son oreiller, puis il alla dans la petite salle de bain attenante à sa chambre, il soupira, il n'avait vraiment pas envie de sortir mais malheuresement pour lui , il était obligé de sortir de sa chambre pendant au moins une heure, et cela avant midi, l'aprés-midi étant consacrée aux visites médicales et autres rendez-vous que lui conférait son statue de malade en hopitâl psychiatrique.
D'un autre côté, dans un petit appartement de style victorient, un jeune médecin étudiait tranquilement le dossier Katsuki Bakugou , il devait bien admettre que ce dossier était assez complexe , mais il trouvait son patient trés interessant. Eijirou Kirishima était un jeune médecin de vingts-deux ans, destiné à une grande carrière politique , il avait tous laissé tombé pour réaliser son rêve et être psychiatre spécialisé dans maladies dû à des traumatismes d'enfance, ayant fini des études de médecine en France avec deux ans d'avances, il était trés respecté des médecins malgrés son jeune âge, c'est d'ailleurs pour cela que le directeur de l'hopitâl avait fait appel à lui.
En effet le pauvre homme était désespéré par le comportement de son jeune patient , celui-ci était renfermé sur lui-même et devenait agressif des que quelqu'un essayait d'avoir un quelconque renseignement sur son passé , passé qui restait d'ailleurs assez mysterieux et sombre. le jeune medecin soupira en fermant le dossier, il verrait bien une fois sur place, il attrappa ses clefs et sortit de son apartment. Une fois le moteur de sa voiture allumé, il se faufila dans la circulation, et quelques minutes aprés, minutes pendant lesqu'elles il ne put s'empêcher d'insulter les autres automobilistes, habitude parisienne oblige, il se gara sur le parking de l'hopitâl, et sortit de son audi en allumant une cigarette , une autres de ses nombreuses habitudes françaises.
Eijirou se dirigea vers le bâtiment réservé à la psychiatrie, en songeant à son patient , dans le dossier il n'y avait que trés peu, voir aucunes informations sur son passé, ce qui ne l'aidait pas vraiment. Il jeta sa clope à l'entrée de l'hôpital, l'écrasant de son talon, puis se dirigea dans la salle réservé aux personels hospitaliers. a peine fut-il entré dans celle-ci qu'une voix qu'il reconaîtrait entre mille l'appela, il se dirigea vers le fond de la salle , où il retrouva deux sillhouettes qu'il conaissait depuis plusieurs années. Denki Kaminari et Sero Hanta, ses meilleurs amis. C'est d'ailleurs pour cette raison que le rouge avait accepté de quitter La France et de revenir s'installer à Tokyo.
En effet les trois compaires se connaissaient depuis la primaire et avaient fait toutes leurs études ensembles , jusqu'au jour où on leurs avaient proposés d'aller étudier à l'étranger. Hanta et Denki avaient alors choisient Tokyo et avaient fini par s'y installer définitivement, pendant que kirishima était partit en Europe. Ce fut Sero qui le prit en premier dans ses bras , le jeune noiraux était rester comme dans les souvenir du français , sa peau était toujours blanche comme la lune et ses yeux noir brillaient de malice, Denki quant à lui était resté égal à lui-même : égocentrique et bruillant, mais cela fit sourire Le rouge.
Il fit d'ailleur remarquer à son ami qu'il était toujours aussi blanc que dans leur enfance.Le noiraux fit mine de bouder alors que le blond exubérant rigola en tapant amicalement le dos de l'ancien expatrié. Hanta était un peu complexé par la blancheur de sa peau qui ressortait à cause de ses cheveux et ses yeux noirs, les deux autres membres du trio avaient pris l'habitude de l'embêter gentiment avec ça. Les trois jeunes gens rigolérent encore quelques minutes avant de finalement se séparer pour aller voir leurs patients respectifs, se promettant d'aller boire un verre dans un des meilleurs bars de la ville aprés leurs services. Eijirou partit donc en direction de son bureau, ayant hâte de rencontrer son si mystérieux patient au nom de Katsuki Bakugou, il entra dans la piéce et s'assit dans son confortable fauteuil, attendant en fixant le fauteuil en face du sien, seul le bureau le séparerait de son patient, mais pour l'instant il devait se pencher sur le cas d'un autre homme, qui avait semble-t-il immolé sa femme car il pensait que celle-ci était une sorcière.
Le jeune rouge souffla, il était beaucoup trop impatient de rencontrer Katsuki pour que ses autres patients lui paraissent réellement intéressant. Il se reprit et se rappela qu'il devait être professionnel.
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Encre dansante
Romance"A quoi bon rester en vie, je ne suis rien de plus qu'un putain de prisonnier"