(hey ! Je reviens avec une nouvelle histoire ! Celle-ci est un peu particulière car c'est la toute première que j'ai écris, à l'époque je n'avais que 13-14 ans, donc le sujet peut paraître un peu léger. Elle est en cours de publication tout simplement car je ne l'avais pas finis à l'époque et donc je continue d'écrire petit à petit !)
cher journal
Cette nuit j'ai encore une fois rêvé de "lui ", je me suis encore une fois réveillé en hurlant, et encore une fois le seul moyen que les infirmiéres ont trouvé pour me calmer ont était des anti-dépresseurs et anxiolitiques, puis les médecins sont arrivés et encore une fois ils m'ont fait la morale, et encore une fois j'ai fais semblant de les écouter. Leurs dicours à était le même que d'habitude, ils ont encore une fois appuyés le fait que si je n'arretais pas trés vite je deviendrais dépendant de ces cachés, j'aurais aimé leurs répondre que c'était trop tard, que je ne peux déjà plus me passer de ces petites pilules, mais je me suis retenus car aprés tout ils ne pourraient pas comprendre que ce sont ces petites billes semblables à des bonbons qui me tiennent en vie, que c'est grâce à elles que je peux oublier mon passé pendant quelques heures, ils ne comprendraient pas que les médicaments sont devenus ma seule clef pour le paradis, que c'est seulement quand je suis sous leurs effets que je peux enfin être apaisé. Non ils ne comprendraient définitivement pas, eux qui ont une vie si normale et heureuse, ils ne peuvent comprendre la douleur que nous éprouvons. Ils ne connaissent pas cette sensation, l'impression de n'être qu'une coquille vide, la torture qu'est le faite de ne rien ressentir, plus de joie, ni d'espoirs, seulement de la tristesse et des désillusion. Non ils ne peuvent pas nous comprendre, nous qui avons été abandonnés par les dieux. C'est seulement une fois qu'ils m'ont laisser seul que j'ai enfin pus me calmer, les bras croisés derrière la tête , je me suis mis à observer cette piéce si impersonelle qui me sers de chambre depuis plus de sept ans maintenant , déjà sept longues années que je suis enfermé dans se batiment qui me répugne tant. Ô comme j'aimerais pouvoir m'enfuir de cet endroit si froid et silencieux. Tu sais cher journal, beaucoup de personnes pensent que le pire ici sont les hurlements mais ils se trompent, ce qui m'affecte le plus est l'absence de bruit, et les regard éteints que nous avons tous ici, mais personne ne peux nous le reprocher, car aprés tout nous ne somme plus que l'ombre de nous même. Enfant je rêvais d'être le meilleur, de pouvoir aider tout le monde, mais j'ai vite compris qu'aider les gens n'apportera rien à l'humanité, car cette humanité, qui devait être semblable à une innocence et une gentillesse sans limites, n'a jamais existé chez l'homme, ou du moins elle n'existe plus. Elle a été souillée par la perversité et l'avarice de notre race. Cette race qui n'a aucuns remord à tuer son prochain, ou à violer des femmes devant leurs enfants, si ce n'est pas le contraire ...
aurevoir cher jounal
Katsuki Bakugo
VOUS LISEZ
Encre dansante
Romance"A quoi bon rester en vie, je ne suis rien de plus qu'un putain de prisonnier"