Attention présence de sexe !
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P.O.V KatsukiJe dévisageais le vert avec un regard méchant, me demandant ce qu'il me voulait. Lui comme d'habitude arborait un doux sourire qui le faisait ressembler à un idiot. Personne ne savait que lui et moi avions grandit ensemble, et nous nous étions mît d'accord pour que personne ne le sache. De toute façon même si l'information venait à cuiter, ça ne changerait rien, car ce qu'a subit Deku n'est rien qu'une broutille, j'avais l'habitude de me faire punir à sa place.
«- J'ai besoin de te parler Kacchan.
- Qu'est-ce que tu me veux ?
- J'ai vus le nouveau psychiatre ... c'est lui n'est-ce pas ?
- De quoi tu me parles ? Tu ne sais rien.
- Bakugou, j'ai grandit au même endroit que toi, je le côtoyais aussi. Il lui ressemble tellement ...»
Je jette un regard au vert, il a les yeux qui brillent, comme s'il retenait des larmes. Il me regarde et son visage semble porter toute la tristesse du monde, et d'un coup j'ai l'impression d'être de nouveau un enfant. Je me lève sans rien dire et part me réfugier dans ma chambre.
Je me jette sur mon lit, enfouissant mon visage dans l'oreiller pour hurler. Je déteste cette sensation, j'ai l'impression d'être de nouveau enfermé là-bas. D'un coup sans que je ne comprenne, je sens des mains sur mon corps. Elles sont rêches et font mal, elles abîment ma peau et brûle mon âme. Très vite je me mets à haleter, complètement prit de panique.
Alors que je sombre dans l'océan de mes souvenirs, une image me vint à l'esprit. Toujours haletant de peur, je sors de ma chambre, et mes pas me mènent directement vers le bureau de mon médecin. Je ne veux plus sentir ces mains sales sur moi, je veux les siennes. Je veux sa chaleur et sa douceur pour me faire oublier le gel et la douleur qu'ils ont imprimé sur mon corps.
J'entre dans le bureau et le voit parler avec Une homme blond en blouse blanche. Quand il me voit, Kirishima demande à l'autre médecin de sortir et se dirige vers moi. Il me demande si tout va bien, m'essayant au sol, et se m'étant à genoux en face de moi. Sans rien dire je me jettes sur lui et l'embrasse, le plaquant au sol.
Il semble surprit au début, mais il tente bien vite de me repousser. Il ne peut pas me faire ça, j'ai besoin de lui, de ses mains, de sa peau contre la mienne. Si ce n'est pas lui, c'est eux qui m'auront, et je ne veux plus me sentir sale et souillé, je ne veux plus qu'on m'oblige à faire ça.
Je le regarde, mais yeux suppliant silencieusement puis l'embrasse à nouveau, mais cette fois de façon bien plus douce. Je suis à califourchon sur lui, et étonnamment, cette fois il se laisse faire. Sa main se glisse dans mon dos pour nous rapprocher et y laisser d'agréables caresses. Je me relève essoufflé et le regarde les larmes aux yeux.
«- S'il te plaît, fais disparaître leurs mains. Je ne veux pas les sentir sur moi. Je ne veux que toi.»
Alors qu'il me dévisage assez surprit, mon cerveau me joue un nouveau tour et devant moi se trouve un petit garçon aux cheveux noirs. Les grands yeux rouges sont restés les mêmes, pareille pour les dents et la cicatrice au dessus de l'œil. Je ferme les yeux, comptant jusqu' à trois pour faire passer mon hallucination, et quand je rouvre les yeux, c'est bien Kirishima qu'il y a devant moi.
Je me repenche et l'embrasse une nouvelle fois, c'est lui, j'en suis sûr. Même Deku a vu la ressemblance. Doucement je commence à onduler mon bassin contre le sien. Il ferme les yeux, certainement à cause du plaisir, et mes baisers descendent dans son cou. Je le marque comme s'il était mien, mais c'est la vérité, il est mien. Riot est mien.
Alors que je suis toujours occuper à laisser une nébuleuse de suçons dans son cou, il se relève, me portant par la même occasion. Je serre mes jambes autours de sa taille, et il me plaque rudement contre le mur. Je gémis de plaisir en sentant la douleur dans mon dos. Il ne me laisse pas le temps de réfléchir qu'il l'embrasse à nouveau, ses dents mordant ma lèvre inférieure.
Le traitement est rude, mais ça marche. Les seules mains présentes sur mon corps sont celles du rouge, et elle ne me laissent aucunes blessures, que se soit physique ou morale. Doucement je me laisse glisser sur mes genoux, me retrouvant au niveau de son entre-jambe. Je veux plus, je veux sentir son odeur et son goût.
Sans lui laisser le temps d'esquisser un geste, j'abaisse son bas, emportant aussi son boxer. Je me retrouve nez à nez avec une erection assez bien monté. Je n'attends pas et embrasse le gland. Le soupir qui passe les lèvres du rouge est absolument magnifique à mes oreilles. Je n'attends plus et ouvre les lèvres, engouffrant son sexe dans ma bouche. Je me forces, et je le sens dans ma gorge. La sensation est exquise, je ne pense plus à rien, juste à cette présence qui me remplit la bouche.
Pour une fois ce n'est pas effrayant, et j'y prend du plaisir. Je bouge ma tête et à chaque fois, son membre tape dans le fond de ma gorge, c'est tellement plaisant de sentir cette chaleur en moi. Bien sûr je manque de m'étouffer quelque fois, mais ce n'est pas si grave.
Au bout d'un moment, je sens que Kirishima me repousse, et je me retire, le laissant venir dans sa main. Je me retrouve assis au sol, lui nettoyant sa main souillé avec un mouchoir. Je sourit en étant complètement comblé, je me sens bien. Leurs mains sales ont disparus, et elles sont remplacées par l'odeur de mon psychiatre. Lui me regarde avant de s'agenouiller devant moi, je n'attends rien et me faufile dans ses bras pour un câlin.
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Hey ! C'est un chapitre un peu particulier, Katsuki à juste eu un mental breakdown, mais au moins vous commencez à avoir de petits indices sur son passé et sur Eijirou !
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Encre dansante
Romance"A quoi bon rester en vie, je ne suis rien de plus qu'un putain de prisonnier"