Prologue

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Savez combien de fois un souvenir même fugace peu vous revenir en tête en un rien de temps et ne plus partir ? Regarder la personne avec qui on l'a vécu et lui dire  « Tu te souviens...  » Pleurer en se souvenant d'un temps passer. Se sentir lasse de tous cela ou bien laisser sa colère se déchaîner.

Lui n'est pas comme ça. Holden n'est pas comme ça.

Il a passé sa vie à se faire tabasser et une autre partie enfermé dans un asile. Il est fou semble t'il pourtant, il a l'air aussi fou que vous et moi. Un ensemble de sentiments contradictoire et qui pourtant ensemble sont si fusionnels, en accord parfait avec l'action que pourra engendrer ce genre de sentiments. Vous êtes dépassez.

Holden est ce genre de personne. Comment pourrait-il en être autrement après ce qu'il a vécu ? Ne seriez-vous pas fou à l'idée de vous retrouver enfermer dans un cyclone renfermant vos plus sombres songes ? Ne seriez-vous pas fou de devoir y faire face perpétuellement ? La boucle est bouclé, le serpent mange sa queue. Personne ne peut l' aider. Il est voué à finir seul. C'est un monstre après tout.

Un monstre. Ne sommes nous pas tous monstre au fond de nous ? Ce mélange de circonstances font qu'il est traité de la sorte. Mais il n'est peut-être pas aussi monstrueux que cela ?

– Tu sais Holden.. La vie ne se résume pas simplement à aimer ou haïr quelqu'un ou quelque chose. Tu es humain, tu as des émotions que tu le veuille ou non et nous sommes tous égaux ! Alors je t'en pris calme toi !

La jeune femme était en train d'essayer de la calmer depuis plus d'une dizaine de minutes il était assis et attaché sur cette chaise à hurler et essayer de se libérer. Au finale elle n'eut plus qu'une solution, lui injecter un produit pour le faire sombrer dans un sommeil forcé.

***

– J'ai toujours rêvé d'un ciel étoilé que je pourrais contempler sans être déranger. Il n'y aurait aucun bruit ou si, seulement celui des vagues qui s'échouent sur la falaise ou je serais. Juste moi, le ciel étoilé et le bruit des vagues. Et peut-être qu'à ce moment là j'aurais finis par me dire que j'ai suffisamment vécu et j'aurais probablement sauté du haut de cette falaise ou j'étais à écouter les vagues et j'aurais finalement disparu.

Il avait fermé les yeux et un sourire apaisé été présent sur ses lèvres rose et pleine. Ce fut le dernier moment doux qu'il eu.

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