Numero Sixteen

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Zayn - Tu m'as bien maté là ?

Je rougis d'une façon je pensais pas c'était possible. Qu'est-ce qui m'a prit de le mater moi aussi. Maya respire, fait comme si de rien n'était.

- Qu'es-tu raconte ? J'ai vu mieux.

QUOI ?!

Zayn - QUOI ?

Je commençais à paniquer. Il va maintenant penser que je suis une petite fille couche toi là..Quand je vous dis que je perds mes moyens avec lui.

- Je veux dire que ta pas un beau corps.

Je regarde son visage..Seigneur..On aurait dit qu'il allait me démarrer d'une vitesse. Il avait son regard noir qui te fait direct baisser la tête et la mâchoire super contractée. Je voulais me couper la langue.

Je le vois s'avancer vers moi - sayer c'est sûr il va me frapper - alors je recule mais il avance, encore et encore et encore, jusqu'à que mon dos de cogne durement contre le mur. Aïe. Du coup je pouvais que le regarder avancer et bien sûr je mentais en' lui disant qu'il avait pas un beau parce moi je le trouve magnifique même si le premier que je vois de ma vie.

- T'..t'approche pas s'il te plaît..

Zayn - Pourquoi ? J'ai pas un beau corps nan ?

- Je..je..

C'est la limite. Il pouvait plus avancer son torse touchait ma poitrine et j'étais rouge de honte. Mon Dieu pourquoi je suis pas sortie direct moi aussi. Je crois que je suis entrain de transpirer même. J'espère qu'il a mis un caleçon au moins.

- Zayn..

Zayn - Maya.

J'avais la tête baissée alors je l'ai levée et c'était plus un regard plein de haine mais plein de désir. Ce même désir que je commençais à ressentir. Je ne pouvais désormais plus me détacher de son regard. C'est ma drogue. Il me le faut à tout prix.

Zayn - Alors j'ai toujours un vieux corps ?

Il était bloqué sur ça mais je savais qu'il voulait plus. J'arrivais plus à me reconnaître et je n'était plus en état de réfléchir ou de comprendre ce qu'il me disait. Maya reprend toi !

- Nan. C'est faux. Pousse toi.

J'avais du mal à respirer. Mon regard toujours dans le sien. Nos respirations devenait de plus en plus forte. On aurait dit des sauvages.

Zayn - Tu me trouves beau ?

- Plus que ça.

Il sourit.

Zayn - Et mon corps ?*respiration très très forte*

- Je le veux.

Je savais que ces trois mots allaient tout changer. Tout. J'ai mise mes mains autour de son cou. Ces papillons dans le ventre. Ce désir qui déborde. J'étais complètement en feu et j'avais besoin qu'il m'éteigne. J'avais besoin de lui. De son corps. De sa bouche.

Banlieusarde fortunée Où les histoires vivent. Découvrez maintenant